Paroles

1 – L’occupation


2 – France





Heureux les braves et les modestes, libéré du consumérisme
Honnêtes gens dont les prouesses, valent que j’en vante les mérites
Jamais ne médisent, jamais ne blessent, sombrent dans le vice et ses dérives
Ils ne font guère de fausses promesses, aident à guérir des plaies vives
Ils ont le cœur doux des poètes, la magnificence des chouettes
Aiment ce qu’ils ont sans convoitise, les richesses leur semblent désuètes
Se délectent d’un coucher de soleil, apprécient le cri des mouettes
Contemplatifs, ils s’émerveillent, chantonnant d’une voix fluette

Heureux les âmes innocentes, satisfaites et guillerettes
Jamais avares du moindre geste charitable quand ça se présente
Même accablés ils plaisantent de leurs malheurs et des tempêtes
Ou préfèrent subir en silence dans le but de se mettre en quête
D’une leçon à en tirer, veillant à ne pas empirer
Une situation menaçante qui pourrait les faire chavirer
Mère de Sagesse est la patience, beaucoup à leur place s’en irait
Maudire le Ciel d’être affligé, de son propre lot de souffrances

Heureux les justes qui ressentent une sincère compassion
Pour le mendiant dont des bastions de chenapans nient l’existence
L’évitant d’une allure pressante, sans même une salutation
Aux hommes qui toute affaire cessante viennent offrir leur consolation
Je dois dire mon admiration, mon respect ma reconnaissance
Lurons à travers qui par chance, je vois le Bon Dieu en action
Au gré des fougues et des passions, ils répudient toute violence
Appliquant avec résilience, les dessins de notre mission

Heureux les humbles et les pauvresses qui du pain quotidien se contentent
Craignant notre juge céleste, se tenant prêt pour sa sentence
Conscients de ce qui ne s’achète, tout ouvert à la repentance
Grâces rendus à ces esthètes que la Foi et l’Honneur transcendent
N’en déplaise à ces gougnafiers portés au pinacle par la France
Les derniers seront les premiers, des braves gens voici la chance
Je garde une solide espérance, qu’ils triomphent au jugement dernier
Et qu’après avoir tant peiné, infinie soit leur récompense


Ô Mère des Vertus, Salut de vos enfants
De ceux qui n’espèrent plus, rien depuis si longtemps
Ô Divine Colombe, Ô Fille Chérie du Père
Épouse de l’Esprit, en qui Dieu s’est fait chair
Jetez un doux regard, ici bas sur vos terres
Sur vos sujets hagards, qui loin de vous se perdent
Ayez à notre égard, miséricorde et peine
Que vos prière nous gardent, Ô Marie Notre Reine

Que le Très-Haut me donne, par Elle l’honneur suprême
De louer la Madone, pour que demain survienne
Dans le cœur des hommes, une flamme nouvelle
Pour celle qui nous aime, mon Cantique résonne
Ô Vierge très fidèle, que votre joug m’étreigne
Sans vous je suis si frêle, si friable et si faible
Que par Votre pardon, ma pauvre âme s’éprenne
D ‘amour pour Votre Nom, Ô Douce Souveraine

Aucun Martyr n’égale, celui que fût le Vôtre
Aucune misère semblable, à celle qui est la nôtre
Quand privés de la Grâce, nous errons en enfer
Le péché nous rend lasse, soignez notre cancer
J’implore Votre Pitié, Ô Mère des Douleurs
Modèle de Piété, Remettez-Lui nos pleurs
Il n’est plus un secret, que Notre Bon Seigneur
Pour vous plébisciter, honore vos faveurs

Je ne suis que l’esclave, de Vôtre Majesté
Ô Rose si suave, daignez dont m’assister
Pleurant mes trahisons, vous ayant attristé
Par cet humble oraison, je veux en attester
Ma Vie, ne laissez plus, le démon m’infester
J’ai si peu de vertu, que je dois insister
De vous avoir déçu, broie mon cœur affligé
De peur qu’à vos pieds, je ne sois plus reçu

Faîtes de moi un fils, digne d’une telle Mère
Faites qu’en moi le vice, sous Votre Amour se terre
Faites que je me libère, des chaînes de la chair
Que je n’espère qu’en Christ, et en son Très Saint Père
Venez je vous implore, quand je quitterais mon corps
Pour me conduire au Juge, à l’aube de la mort
Je sais que Vos clameurs, peuvent changer le sort
De l’âme d’un pêcheur… si il Vous prie encore

Par amour de ma Reine, je veux gagner le Ciel
De Son lait maternel, en savourer le miel
Que ma fin soit soudaine, sereine ou bien cruelle
Qu’importe tant que j’accède, au Royaume éternel
D’ici là Toute Belle, que naisse en moi le zèle
De Vous servir toujours, sans me brûler les ailes
Que soit ce pieux poème, un cri perpétuel
Qui dans les cœurs s’essaime… Par amour de ma Reine


Du tréfonds de mon âme s’élève un cri de joie
La volonté qu’il clame Dieu la fît naître en moi
Une éternelle flamme, un espoir, un émoi
Un désir qui me charme par sa suave voix
Il annonce le retour des beaux jours ici bas
Où le peuple a recours au sauveur qui viendra
Bouter hors de sa cour ceux en qui nul ne croit
Pour nous porter secours chantons vive le Roy

Vive le Roy, Vive le Roy
Vive Saint Louis, Vive Pépin III
Vive Clovis, Vive Henri III
Vive Louis XX, Vive le Roy (bis)

Fît de tous ces tartuffes usurpant leurs fonctions
Qu’un bon monarque insuffle une résurrection
Au moribond royaume que la Révolution
A saigné sans vergogne au profit des maçons
Retrouvons les sommets au concert des nations
Les cloches vont résonner de Poitiers à Soissons
Te Deum en chaque bourg, exultons pour de bon
Célébrons le retour de Louis XX de Bourbon

Vive le Roy, Vive le Roy
Vive Saint Louis, Vive Pépin III
Vive Clovis, Vive Henri III
Vive Louis XX, Vive le Roy (bis)


Remémorons-nous tout contrit, du morne matin d’hiver
Où le sol pavé de Paris, recueillait le sang du Père
Occis par ses enfants aigris, saisis de folie meurtrière
Digne et brave il rendit l’esprit, par une ultime prière
Gloire au juste à jamais inscrit, au rang des illustres martyrs
C’est une fois le supplice subit, que leurs légendes naquirent
230 années aujourd’hui, on peut à regret ressentir
L’orage funeste sur ce pays, refusant de se repentir
Sommes nous voué à l’apathie, à en pâtir éternellement
C’est notre orgueil que Dieu châtie, pour l’avoir nié éperdument
Contre le cœur de Marie blotti, terrassé par la peur du manque
De grâce divine sur notre patrie, en proie à ses larmes brûlantes
Mes entrailles, ma chair, mon âme crient, au secours à ma Mère aimante
Intercédez auprès du Christ, pour ma France que le diable éventre
Qu’Il lui pardonne d’avoir failli, d’avoir sombré dans la démence
Lui fasse l’offrande même trahi, de l’honorer de Sa clémence

Pour les 500 000 Vendéens, pardonnez-nous Jésus
Pour les massacres de septembre, pardonnez-nous Jésus
Pour les Carmélites de Compiègne, pardonnez-nous Jésus
Pour tous les noyés de Nantes, pardonnez-nous mon Jésus
Pour les prêtres insermentés, pardonnez-nous Jésus
Pour la très pieuse Élisabeth, pardonnez-nous Jésus
Pour la Reine Marie-Antoinette, pardonnez-nous Jésus
Pour l’enfant Roi Louis XVII, pardonnez-nous mon Jésus

N’oubliez pas que la France prie, unie à votre Sacré-cœur
Espère en vous d’une Foi ardente, le seul rempart face à ses peurs
Vos enfants par milliers supplient encore à cette heure
La Très Sainte Vierge Marie jamais insensible à ses pleurs
Sauvez-aussi la Sainte Église, sabotée de l’intérieur
Que des chimères libérales brise menant ses brebis dans l’erreur
Éloignez l’hydre mondialiste de vos fervents serviteurs
Qu’enfin Votre Règne arrive, en notre terrestre demeure
Revenons à cet échafaud, genèse de nombreux châtiments
Frappant la fille aînée de Rome, dans son calvaire lancinant
Prolongé par tant de débâcles, de Waterloo à Sedan
Autrefois porté au pinacle, la voilà déchu de son rang
Par ici triste parricide, repends toi de tes crimes
Que Notre Bon Roi placide, pardonna sous les cris
Souviens-toi de ta mission, Ô combien tu fus précoce
Toi la plus belle des nations, Gesta Dei Per Francos !



2 – L’Ode au Croisé

Dernier Adieu à l’épouse que Dieu m’a donné
Dernier baiser, à mes enfants je vais m’adonner
À mon devoir de chrétien car hier le Saint Père exhortait
Pour sauver nos frères du cimeterre des infidèles de nous croiser
Ils les enchaînent, les asservissent, au nom d’une tradition malsaine
De Tolède à Jérusalem, sans pitié leurs légions sévissent
Tous les Seigneurs de la Sainte France, pour l’honneur doivent se mettre en selle
Fît des souffrances qui nous attendent, nous nous retrouverons au Ciel

Oyez, oyez, preux chevaliers, faîtes atteler vos destriers
Au Saint Sépulcre, hâtez vos pas, pour tirer d’un sombre trépas
Les Pèlerins et les Ermites, à la merci des Ismaélites
Assoiffés du Sang des hommes pieux, pensant apaiser leur Faux-Dieu

Les affligés crient au secours, désespérés
Pour alléger leur lourd fardeau, cours infliger
Aux ennemis de la Sainte Croix, le châtiment du Divin Bras
Dont le peuple Franc se vît charger pour la Justice d’exécuter
Le Duc Godefroy, le Brave Baudouin, au Nom du Roy s’en vont au loin
Ne Cherchant ni Gloire ni renommée, voyant l’espoir d’un martyr consommé
Ils ne guerroient point pour tuer, ne craignent guère l’effroi d’être tués
Dieu leur prêtera Force et Courage, en leur deuil apaisera leur rage
Grecs et Latins, laissons nos différents de côté !
Un jour pas si lointain les mahométans voudront nous ôter
La Sainte Religion qui nous fît si grand, nous égorgerons sous leurs cris stridents
Nos femmes et nos fils seront faits esclaves, condamnés d’office au joug de l’Islam
Premier succès, Gloire au Seigneur, nous prîmes Nicée
Peu de blessés, mais nos rangs souffrirent quelques décès
Les Arméniens nous prêtent main forte, dans les mois prochains nous seront aux portes
De la Ville Sainte, plongée dans l’horreur, à jamais empreinte du Sang du Sauveur

Oyez, oyez, preux chevaliers, faîtes attelez vos destriers
Au Saint Sépulcre, hâtez vos pas, pour tirer d’un sombre trépas
Les Pèlerins et les Ermites, à la merci des Sémites
Assoiffés du Sang des hommes pieux, pensant apaiser leur Faux-Dieu

À chaudes larmes, je pleure ma famille et reprends les armes
Pour ma survie, sur mon oriflamme trône Notre-Dame
Je combats, je prie, je jeûne et m’abstiens, de tout mépris vis à vis des miens
Se laissant aller, glissant sur la pente du péché tel Bohémond de Tarente
Ayez pitié, Ô Père Tout Puissant des inimitiés
Qui traversant les bataillons Francs ont esquinté
Notre Unité, la Camaraderie, oubliant l’Amitié qui nous lie
Ne faîtes point payer aux Justes le prix, des iniquités des impies
Voyant Antioche entre nos mains nous fûmes proches
D’oublier nos desseins et nos destins pour remplir nos poches
C’est en l’An de Grâce 99, qu’enfin arrivassent de Damas
Les Soldats Fugaces s’en venant mourir, sans qu’aucun de nous ne trépasse
Rentrant fort jouasse à Jérusalem nous étions las
De tant de haine que ceux d’en face nous portassent
Le Bon Godefroy fût magnanime absolvant les victimes
Il ne se fît Roy, car ici ne subsiste, un seul qui le soit :
JÉSUS LE CHRIST !

Oyez, oyez, preux chevaliers, faîtes attelez vos destriers
Au Saint Sépulcre, hâtez vos pas, pour pier le Roi des Rois
Les Pèlerins et les Ermites sont délivrés des Ismaélites
Sous le doux joug du Duc Godefroy viennent adorer le Roi des Rois !



5 Servus Mariae

Esclave de l’Argent, esclave de la réussite
Esclave des honneurs flatté qu’on te félicite
Pourvu qu’un beau matin les mondains te plébiscitent
Qu’on m’excuse de trouver cette servitude illicite
Esclave de Mammon, Esclave du Péché,
Esclave du qu’en dira t-on permets moi de prêcher
Que les seules chaines propices à mener au bonheur
Sont celles qui nous attachent à la Mère du Seigneur

EGO SUM MILES MARIAE, ECCE AMATOR SERVUS MARIAE

Esclave de la Chair, esclave de la République
Esclave des Faux Dieux, des balivernes ésotériques
Prétendu libertaire croulant sous un joug terrible
Esclave du mensonge, du progressisme et ses dérives
Rejoins les serviteurs de la plus Bonne Souveraine
Sûr qu’elle te sanctifiera au delà de tes rêves
Rien n’est plus doux, plus délectable, que d’être de Ses Fils
Pour être prémuni du diable, de ses hydres et ses sévisses

EGO SUM MILES MARIAE, ECCE AMATOR SERVUS MARIAE

Esclave de la Mode, esclave de la bien-pensance
Toujours aux antipodes d’une liberté que tu offenses
La tienne ne laisse libre cours qu’au plaisir et au Vice
Celle que la Sagesse a condamné d’office
Sois enfant de Marie crucifie ta concupiscence
Demande le cœur contrit que Son Fils pardonne tes offenses
Goûtes aux bienfaits exquis du Tribunal de Pénitence
De toute ton âme expie, loue Dieu de Sa Munificence

EGO SUM MILES MARIAE, ECCE AMATOR SERVUS MARIAE

7 Les Ripoublicains

C’est les Ripoublicains bienvenue chez les Ripoublicains
C’est les Ripoublicains, bienvenue chez les Ripoux


Bienvenue dans les coulisses du jeu factice
Où journalistes et énarques pactisent
Contre les gueux, les bleus, les vieux et les actifs
Contre les profs et les gendarmes finis au Pastis
Attribution des rôles aux acteurs et actrices
Jean-Luc enlève ton tablier deviens populiste
Eric dis-leur que c’est la faute des Islamistes
Pour qu’on puisse prétendre que les Français sont racistes
Marine apostasie quitte à traiter de Nazi
Ce petit juif aigri qui te vole tes amis
Tu t’es tellement reniée que ta propre famille
A fini par te fuir pour gagner son parti
Manu ne te repose pas sur tes acquis
Achève de brader notre industrie à nos ennemis
Empêche aux Français de gagner honnêtement leur vie
Étouffe de taxes le petit patron qui survit

C’est les Ripoublicains bienvenue chez les Ripoublicains
C’est les Ripoublicains, bienvenue chez les Ripoux

Bienvenue chez nous où la pensée a sa police
Celle qui distribue des gages de conformisme
Imbuvables moralistes les mêmes qu’au temps du Christ
On retrouve tous ces tartuffes au dîner du Crif
Rudy, Tristan, Mario chasseurs de complotiste
Simone, Jacques et Christine idoles dénatalistes
Agnès, Olivier, Laurent prêtres covidistes
Prennent leurs ordres au sein des loges Satanistes
Je prépare la liste pour le prochain Nuremberg
Celui là sera moins pipé je l’espère
Grâce à mon anonymat l’occupant me laisse faire
Mais y a comme de l’eau dans le gaz comme disait Robert
J’essaie d’être un digne contre-révolutionnaire
Soigner le mal par le bien nous comme un tortionnaire
Je ne veux pas leur tête mais qu’on les mettent au vert
Qu’enfin Dieu nous libère de cette engeance de vipère

C’est les Ripoublicains bienvenue chez les Ripoublicains
C’est les Ripoublicains, bienvenue chez les Ripoux


Bienvenue chez les vendus Atlantistes
Qualifiant les pacifistes d’attentistes
Prêts à tout pour qu’enfin s’accomplisse
Le funeste Messianisme des Talmudistes
Bienvenue chez les faussaires en bande organisée
Réduisant à la misère les affligés
Dieu me préserve de me taire ces hommes ont pactisé
Avec Lucifer lève toi Baptisé
Il nous reste que le Rosaire pour leur infliger
Une défaite par la prière afin d’alléger
Les offenses faîtes au Père et à Sa Majesté
Par ces blasphémateurs dont nous sommes infestés
Frère pose-toi des questions quand toute la Presse se lève
Pour cracher sa bile sur une œuvre qui révèle
Qu’en nos élites sévissent des pédocriminels
Que crois-tu qu’ils nous cachent en protégeant l’Ukraine

C’est les Ripoublicains bienvenue chez les Ripoublicains
C’est les Ripoublicains, bienvenue chez les Ripoux











Crédits | Graphisme, Site et Communication : Elena Créations & Conseil

4 commentaires sur « Paroles »

  1. Bonjour.
    Nous vous suivons régulièrement, bravo pour votre apostolat.
    Nous avons un bar et un restaurant à Corcoue sur Logne, non loin des Lucs sur Boulogne et si vous avez l’occasion de venir par là, on peut vous accueillir avec grand plaisir.
    Voici l’ adresse mail du restaurant :
    laforgesaintjoseph@gmail.com
    Téléphone 0240736169

  2. Bonjour Louis-Antoine,

    J’ai écouté ton premier CD reçu en cadeau ce matin par une maison d’édition, et je tiens à te remercier !

    C’est vraiment bien et inspirant je trouve, bravo, continue !

    1. Merci cher ami,
      Quelle maison d’édition vous l’a offert si ce n’est pas indiscret ?
      (vous pouvez me répondre en privée à louisantoine@netc.fr si vous le souhaitez.

      Que Dieu vous bénisse,
      Marialement,
      Louis-Antoine

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *