1 – L’occupation
Ô Sainte Jeanne gardez nos âmes libérez la nation
Faîtes que nos cœurs s’enflamment contre l’occupation
Ô Sainte Jeanne sauvez la France des Anglo-Saxons
Et des cabales maussades des sages de Sion !
2 – France
Toi la fille de Rome et d’Athènes
Ô combien grande doit être ta peine
De voir tes enfants s’enliser
Dans la division, dans la haine
Toi la prodigieuse et pérenne
En voyant mutiler ses rêves
De grandeur et de vérité
Par ta descendance infidèle
Tu espères que l’on brise tes chaînes
Et vienne enfin te libérer
Des régicides illuminés
Qui te firent veuve toi notre reine
Tes dernières forces s’égrènent
À mesure que passent les années
Dans ton supplice n’oublie jamais
Ceux qui te chérissent et qui t’aiment
Se faisant leur ton martyr
Tous les cœurs qui battent et qui saignent
Même pour tous les bougres qui feignent
Par orgueil de ne point en souffrir
Sont prêts à proclamer ton règne
Au sacrifice pour conquérir
Une victoire incertaine
Pour laquelle est noble de mourir
Si la décision était mienne
Ton héritage ton souvenir
Seraient des choses qu’on enseigne
Dès l’âge où l’on apprend à lire
L’ennemi à choisi de salir
Tes racines helléno-chrétienne
Pour que l’on soit honteux de dire
Qu’à ta famille on appartienne
Toi nouvelle Jérusalem
Enfin chérie de notre Église
Toi qui n’es pas sortie indemne
Des incursions et des traitrises
Phare du monde quoiqu’on en dise
Nation millénaire et à même
Demain de redevenir souveraine
Face aux colons et leur emprise
Naguère attisant convoitise
Par sa beauté et sa richesse
Pour le génie de ses artistes
De ses penseurs et ses poètes
Pour tes montagnes et tes vestiges
Que par notre Guide Céleste
Tu sois bénie pour le prestige
De Saint Louis et Sainte Thérèse
Ô toi qui par l’heureux baptême
De Clovis pour qui Notre Père
T’offrit une destinée suprême
Faisant que toujours on espère
Inspire qui naquit sur ta terre
Du prolo au bourgeois bohème
À redécouvrir le mystère
De ton histoire et ses emblèmes
De la Provence au Finistère
Du Périgord à la Lorraine
Pour contempler tes monastères
Certains du bout du monde viennent
Aux fantassins, aux militaires
Tombés au front pour que survienne
Une protection salutaire
Je voudrais dédier ce poème.
3 – La Guerre
J’ai coutume de vivre, en paix avec mes frères
D’où que vienne un sourire, je ne le refuse guère
Quand les dires d’un convive, en tout point m’exaspèrent
Mes ardeurs je tempère, reportant l’invective
Étranger que j’aborde, amitié éphémère
Famille proche ou encore mes coreligionnaires
Une question me dévore, aux tréfonds de ma chair
Seront nous du même bord, quand éclatera la guerre
S’il suffisait d’avoir, le même sang dans nos veines
Pour éviter qu’un soir, la discorde nous vienne
Tout autre serait l’histoire, qui a vu par centaine
De fratricides notoires, sans remord et sans peine
Pour un bout de lopin, pour l’honneur d’une belle
Pour tuer en son sein une rébellion nouvelle
Toi que j’aime dis-moi, Ô toi qui m’est si cher
De quel bord tu seras, quand commencera la guerre
Apparences trompeuses engendrent des illusions
Quand une confiance aveugle mène à la trahison
Relations insidieuses mystifiant ma raison
Les jugeant vertueuses, voilent mon horizon
Je maudis tous ces doutes, ces méfiances délétères
Menant à ma déroute en évitant mes pairs
Que cela ne me coûte, une défaite amère
Issue que je redoute, quand se jouera la guerre
Parmi toutes les âmes, ensoleillant mes jours
Laquelle bravera les flammes sans peur et sans détour
Joignant ses forces aux miennes, par foi et par amour
Quand bien même cela mène, au voyage sans retour
Convaincu de ne pas, combattre pour des chimères
Abattu sous le poids, du même cimeterre
Qui donc reposera dans un pesant cimetière
Enterré près de moi, quand finira la guerre
4 – Les Égareurs
Sous des cieux indécis je vogue, cherchant à fuir ces facéties
Divague ferme en me rêvant, à l’aube à l’ombre d’un récif
Le cri sourd de la ville souffle, dans mes bronches mais je chante et siffle
Sondant un songe, une éclaircie, m’inspirant un récit
Assis sur mes lauriers fanés, quitte à caner m’allume une tige
Observe ces êtres muselés, qu’au fond de mon âme je fustige
J’essaie d’être miséricordieux à la vue des ces drôles d’oiseaux
Mais les savoir si nombreux, ça morbleu, ça me scie les os.
J’ai beau balayer devant ma porte, je finis par trouver le temps long
Fatalement je pense à ces cloportes, promus éleveurs de moutons
J’en ai pitié car l’Éternel, sur eux aura le dernier mot (bis)
Dans cet asile à ciel ouvert, la vérité n’est que folie
Les égareurs perfides opèrent, sans crainte qu’un jour ils soient punis
La psychose pénètre les chaumières, semblable au ver dans le fruit
Entre eux les hommes se jettent la pierre, au cœur même des familles
Que le ciel nous vienne en aide, la croix que l’on porte s’alourdit
Leur morale me semble si laide, que j’en demeure tout étourdi
Je ne crains pas l’avenir funèbre, que l’ennemi voit établi
Car l’espérance est la plus belle, vertu que Christ nous ai transmis
J’ai beau balayer devant ma porte, je finis par trouver le temps long
Fatalement je pense à ces cloportes, promus éleveurs de moutons
J’en ai pitié car l’Éternel, sur eux aura le dernier mot (bis)
Les soldats du bien sont légions, enfants du culte des martyrs
Même si sous la persécution, on en voit certains déguerpir
Les sirènes de la soumission, voudraient bien tous nous pervertir
Le maître du logos a raison, se laisser choir serait trahir
Force et honneur à ceux qui vont, tout risquer pour faire réagir
Censurés par l’état profond, mis en prison si ce n’est pire
N’attendez rien d’un avorton, vendu et promu par l’Empire
Qu’importe pour qui nous votons, l’élu sera payé à mentir.
J’ai beau balayer devant ma porte, je finis par trouver le temps long
Fatalement je pense à ses cloportes, promus éleveurs de mouton
J’en ai pitié car l’Éternel, sur eux aura le dernier mot (bis).
5 – Dieu, la France et le Roy
Je ne pourrais parler d’amour, sans évoquer cette immuable
Flamme qui jusqu’à mon dernier jour brûlera au fond de mon âme
Elle qui ne s’agite pas pour, les beaux yeux d’une gente dame
Fièrement je l’arborerais toujours, qu’importe si les croquants me blâment
Ce qu’elle aime il n’est pas aisé de la défendre en ce bas monde
Où tant de désirs déréglés dans le cœur des hommes abondent
Cette dévotion si féconde, vous la clamer je le dois
Celle qui m’habite chaque seconde, pour Dieu, la France et le Roy
Comme le chantaient les paysans, avant le règne des marchands
Haut les cœurs et haut les croix, Vive Dieu, la France et le Roy
Fît de nos piètres dirigeants, seul un monarque diligent
Pourra nous sauver de surcroît, Vive Dieu, la France et le Roy
Le constat me paraît limpide, les illusions doivent s’estomper
Leur idéologie morbide n’a pas le succès escompté
La République parricide aux mains de menteurs éhontés
Sombrera si nous sommes intrépides, fervents à la faire déchanter
Souvenons nous des foules emmenées, par Henri de la Rochejacquelin
Cathelineau, Bonchamps, d’Elbée, soulevant le peuple des patelins
Notre Seigneur doit régner, cette sainte mission nous échoit
N’ayons pas peur d’être saigné, pour Dieu, la France et le Roy
Comme le chantaient les paysans, avant le règne des marchands
Haut les cœurs et haut les croix, Vive Dieu, la France et le Roy
Fît de nos piètres dirigeants, seul un monarque diligent
Pourra nous sauver de surcroît, Vive Dieu, la France et le Roy
Quoi de plus beau que de donner sa vie, enseignait le Verbe Incarné
Combattre le démon avide, pour qu’il cesse de s’acharner
Sur la fille aînée de l’Église, elle qui ne se rendra jamais
Une cause si louable exige, que pour elle se forme une armée
Il suffit simplement d’y croire, d’aimer ce pourquoi l’on se bat
Le Seigneur donnera la victoire, où nous unira à sa croix
Gardons l’espérance et la foi, même si à la fin de l’histoire
Nous ne sommes plus que trois, pour Dieu, la France et le Roy
Comme le chantaient les paysans, avant le règne des marchands
Haut les cœurs et haut les croix, Vive Dieu, la France et le Roy
Même si à la fin de l’histoire, nous ne sommes plus que trois
Chantons ce doux cri d’espoir, Vive Dieu, la France et le Roy
6 – Nos amis les saints
Heureux les braves et les modestes, libéré du consumérisme
Honnêtes gens dont les prouesses, valent que j’en vante les mérites
Jamais ne médisent, jamais ne blessent, sombrent dans le vice et ses dérives
Ils ne font guère de fausses promesses, aident à guérir des plaies vives
Ils ont le cœur doux des poètes, la magnificence des chouettes
Aiment ce qu’ils ont sans convoitise, les richesses leur semblent désuètes
Se délectent d’un coucher de soleil, apprécient le cri des mouettes
Contemplatifs, ils s’émerveillent, chantonnant d’une voix fluette
Heureux les âmes innocentes, satisfaites et guillerettes
Jamais avares du moindre geste charitable quand ça se présente
Même accablés ils plaisantent de leurs malheurs et des tempêtes
Ou préfèrent subir en silence dans le but de se mettre en quête
D’une leçon à en tirer, veillant à ne pas empirer
Une situation menaçante qui pourrait les faire chavirer
Mère de Sagesse est la patience, beaucoup à leur place s’en irait
Maudire le Ciel d’être affligé, de son propre lot de souffrances
Heureux les justes qui ressentent une sincère compassion
Pour le mendiant dont des bastions de chenapans nient l’existence
L’évitant d’une allure pressante, sans même une salutation
Aux hommes qui toute affaire cessante viennent offrir leur consolation
Je dois dire mon admiration, mon respect ma reconnaissance
Lurons à travers qui par chance, je vois le Bon Dieu en action
Au gré des fougues et des passions, ils répudient toute violence
Appliquant avec résilience, les dessins de notre mission
Heureux les humbles et les pauvresses qui du pain quotidien se contentent
Craignant notre juge céleste, se tenant prêt pour sa sentence
Conscients de ce qui ne s’achète, tout ouvert à la repentance
Grâces rendus à ces esthètes que la Foi et l’Honneur transcendent
N’en déplaise à ces gougnafiers portés au pinacle par la France
Les derniers seront les premiers, des braves gens voici la chance
Je garde une solide espérance, qu’ils triomphent au jugement dernier
Et qu’après avoir tant peiné, infinie soit leur récompense
7 – Par amour de ma reine
Ô Mère des Vertus, Salut de vos enfants
De ceux qui n’espèrent plus, rien depuis si longtemps
Ô Divine Colombe, Ô Fille Chérie du Père
Épouse de l’Esprit, en qui Dieu s’est fait chair
Jetez un doux regard, ici bas sur vos terres
Sur vos sujets hagards, qui loin de vous se perdent
Ayez à notre égard, miséricorde et peine
Que vos prière nous gardent, Ô Marie Notre Reine
Que le Très-Haut me donne, par Elle l’honneur suprême
De louer la Madone, pour que demain survienne
Dans le cœur des hommes, une flamme nouvelle
Pour celle qui nous aime, mon Cantique résonne
Ô Vierge très fidèle, que votre joug m’étreigne
Sans vous je suis si frêle, si friable et si faible
Que par Votre pardon, ma pauvre âme s’éprenne
D ‘amour pour Votre Nom, Ô Douce Souveraine
Aucun Martyr n’égale, celui que fût le Vôtre
Aucune misère semblable, à celle qui est la nôtre
Quand privés de la Grâce, nous errons en enfer
Le péché nous rend lasse, soignez notre cancer
J’implore Votre Pitié, Ô Mère des Douleurs
Modèle de Piété, Remettez-Lui nos pleurs
Il n’est plus un secret, que Notre Bon Seigneur
Pour vous plébisciter, honore vos faveurs
Je ne suis que l’esclave, de Vôtre Majesté
Ô Rose si suave, daignez dont m’assister
Pleurant mes trahisons, vous ayant attristé
Par cet humble oraison, je veux en attester
Ma Vie, ne laissez plus, le démon m’infester
J’ai si peu de vertu, que je dois insister
De vous avoir déçu, broie mon cœur affligé
De peur qu’à vos pieds, je ne sois plus reçu
Faîtes de moi un fils, digne d’une telle Mère
Faites qu’en moi le vice, sous Votre Amour se terre
Faites que je me libère, des chaînes de la chair
Que je n’espère qu’en Christ, et en son Très Saint Père
Venez je vous implore, quand je quitterais mon corps
Pour me conduire au Juge, à l’aube de la mort
Je sais que Vos clameurs, peuvent changer le sort
De l’âme d’un pêcheur… si il Vous prie encore
Par amour de ma Reine, je veux gagner le Ciel
De Son lait maternel, en savourer le miel
Que ma fin soit soudaine, sereine ou bien cruelle
Qu’importe tant que j’accède, au Royaume éternel
D’ici là Toute Belle, que naisse en moi le zèle
De Vous servir toujours, sans me brûler les ailes
Que soit ce pieux poème, un cri perpétuel
Qui dans les cœurs s’essaime… Par amour de ma Reine
8 – Vive Louis XX
Du tréfonds de mon âme s’élève un cri de joie
La volonté qu’il clame Dieu la fît naître en moi
Une éternelle flamme, un espoir, un émoi
Un désir qui me charme par sa suave voix
Il annonce le retour des beaux jours ici bas
Où le peuple a recours au sauveur qui viendra
Bouter hors de sa cour ceux en qui nul ne croit
Pour nous porter secours chantons vive le Roy
Vive le Roy, Vive le Roy
Vive Saint Louis, Vive Pépin III
Vive Clovis, Vive Henri III
Vive Louis XX, Vive le Roy (bis)
Fît de tous ces tartuffes usurpant leurs fonctions
Qu’un bon monarque insuffle une résurrection
Au moribond royaume que la Révolution
A saigné sans vergogne au profit des maçons
Retrouvons les sommets au concert des nations
Les cloches vont résonner de Poitiers à Soissons
Te Deum en chaque bourg, exultons pour de bon
Célébrons le retour de Louis XX de Bourbon
Vive le Roy, Vive le Roy
Vive Saint Louis, Vive Pépin III
Vive Clovis, Vive Henri III
Vive Louis XX, Vive le Roy (bis)
9 – Miserere Nobis
Remémorons-nous tout contrit, du morne matin d’hiver
Où le sol pavé de Paris, recueillait le sang du Père
Occis par ses enfants aigris, saisis de folie meurtrière
Digne et brave il rendit l’esprit, par une ultime prière
Gloire au juste à jamais inscrit, au rang des illustres martyrs
C’est une fois le supplice subit, que leurs légendes naquirent
230 années aujourd’hui, on peut à regret ressentir
L’orage funeste sur ce pays, refusant de se repentir
Sommes nous voué à l’apathie, à en pâtir éternellement
C’est notre orgueil que Dieu châtie, pour l’avoir nié éperdument
Contre le cœur de Marie blotti, terrassé par la peur du manque
De grâce divine sur notre patrie, en proie à ses larmes brûlantes
Mes entrailles, ma chair, mon âme crient, au secours à ma Mère aimante
Intercédez auprès du Christ, pour ma France que le diable éventre
Qu’Il lui pardonne d’avoir failli, d’avoir sombré dans la démence
Lui fasse l’offrande même trahi, de l’honorer de Sa clémence
Pour les 500 000 Vendéens, pardonnez-nous Jésus
Pour les massacres de septembre, pardonnez-nous Jésus
Pour les Carmélites de Compiègne, pardonnez-nous Jésus
Pour tous les noyés de Nantes, pardonnez-nous mon Jésus
Pour les prêtres insermentés, pardonnez-nous Jésus
Pour la très pieuse Élisabeth, pardonnez-nous Jésus
Pour la Reine Marie-Antoinette, pardonnez-nous Jésus
Pour l’enfant Roi Louis XVII, pardonnez-nous mon Jésus
N’oubliez pas que la France prie, unie à votre Sacré-cœur
Espère en vous d’une Foi ardente, le seul rempart face à ses peurs
Vos enfants par milliers supplient encore à cette heure
La Très Sainte Vierge Marie jamais insensible à ses pleurs
Sauvez-aussi la Sainte Église, sabotée de l’intérieur
Que des chimères libérales brise menant ses brebis dans l’erreur
Éloignez l’hydre mondialiste de vos fervents serviteurs
Qu’enfin Votre Règne arrive, en notre terrestre demeure
Revenons à cet échafaud, genèse de nombreux châtiments
Frappant la fille aînée de Rome, dans son calvaire lancinant
Prolongé par tant de débâcles, de Waterloo à Sedan
Autrefois porté au pinacle, la voilà déchu de son rang
Par ici triste parricide, repends toi de tes crimes
Que Notre Bon Roi placide, pardonna sous les cris
Souviens-toi de ta mission, Ô combien tu fus précoce
Toi la plus belle des nations, Gesta Dei Per Francos !
10 – Sous le chêne de Saint Louis
Les pauvres et les humbles accourent
Au pied du juge souverain
Quittant femmes et enfants pour
Assouvir leur soif et leur faim
Car ces braves gens morfondus
Par tous le Royaume ont ouï
Que la Justice serait rendue
Sous le chêne de Saint-Louis
Sa bonté fait leur espérance
Eux que leurs seigneurs ont lésés
Font une pieuse révérence
S’inclinent face à sa Majesté
Nul ne partira les mains vides
De ceux qui s’en remettent à lui
Le sort punira les avides
Sous le chêne de Saint-Louis
Il est lieutenant du Seigneur
Il lave les pieds des petits
Semant les germes du Sauveur
Modèle du devoir accompli
Son cœur resplendit sur la France
Priant de Mâtines à Complies
Le peuple apaise ses souffrances
Sous le chêne de Saint-Louis
Des confins du monde à Vincennes
Sa grande Sagesse éblouie
Tous les justes louent sous son chêne
Le doux règne de Saint Louis
Heureux le sein qui l’a porté
Gloire à ses vertus inouïs
Levons nos verres à la santé
De Notre Bon Roi Saint-Louis
2 – L’Ode au Croisé
Dernier Adieu à l’épouse que Dieu m’a donné
Dernier baiser, à mes enfants je vais m’adonner
À mon devoir de chrétien car hier le Saint Père exhortait
Pour sauver nos frères du cimeterre des infidèles de nous croiser
Ils les enchaînent, les asservissent, au nom d’une tradition malsaine
De Tolède à Jérusalem, sans pitié leurs légions sévissent
Tous les Seigneurs de la Sainte France, pour l’honneur doivent se mettre en selle
Fît des souffrances qui nous attendent, nous nous retrouverons au Ciel
Oyez, oyez, preux chevaliers, faîtes atteler vos destriers
Au Saint Sépulcre, hâtez vos pas, pour tirer d’un sombre trépas
Les Pèlerins et les Ermites, à la merci des Ismaélites
Assoiffés du Sang des hommes pieux, pensant apaiser leur Faux-Dieu
Les affligés crient au secours, désespérés
Pour alléger leur lourd fardeau, cours infliger
Aux ennemis de la Sainte Croix, le châtiment du Divin Bras
Dont le peuple Franc se vît charger pour la Justice d’exécuter
Le Duc Godefroy, le Brave Baudouin, au Nom du Roy s’en vont au loin
Ne Cherchant ni Gloire ni renommée, voyant l’espoir d’un martyr consommé
Ils ne guerroient point pour tuer, ne craignent guère l’effroi d’être tués
Dieu leur prêtera Force et Courage, en leur deuil apaisera leur rage
Grecs et Latins, laissons nos différents de côté !
Un jour pas si lointain les mahométans voudront nous ôter
La Sainte Religion qui nous fît si grand, nous égorgerons sous leurs cris stridents
Nos femmes et nos fils seront faits esclaves, condamnés d’office au joug de l’Islam
Premier succès, Gloire au Seigneur, nous prîmes Nicée
Peu de blessés, mais nos rangs souffrirent quelques décès
Les Arméniens nous prêtent main forte, dans les mois prochains nous seront aux portes
De la Ville Sainte, plongée dans l’horreur, à jamais empreinte du Sang du Sauveur
Oyez, oyez, preux chevaliers, faîtes attelez vos destriers
Au Saint Sépulcre, hâtez vos pas, pour tirer d’un sombre trépas
Les Pèlerins et les Ermites, à la merci des Sémites
Assoiffés du Sang des hommes pieux, pensant apaiser leur Faux-Dieu
À chaudes larmes, je pleure ma famille et reprends les armes
Pour ma survie, sur mon oriflamme trône Notre-Dame
Je combats, je prie, je jeûne et m’abstiens, de tout mépris vis à vis des miens
Se laissant aller, glissant sur la pente du péché tel Bohémond de Tarente
Ayez pitié, Ô Père Tout Puissant des inimitiés
Qui traversant les bataillons Francs ont esquinté
Notre Unité, la Camaraderie, oubliant l’Amitié qui nous lie
Ne faîtes point payer aux Justes le prix, des iniquités des impies
Voyant Antioche entre nos mains nous fûmes proches
D’oublier nos desseins et nos destins pour remplir nos poches
C’est en l’An de Grâce 99, qu’enfin arrivassent de Damas
Les Soldats Fugaces s’en venant mourir, sans qu’aucun de nous ne trépasse
Rentrant fort jouasse à Jérusalem nous étions las
De tant de haine que ceux d’en face nous portassent
Le Bon Godefroy fût magnanime absolvant les victimes
Il ne se fît Roy, car ici ne subsiste, un seul qui le soit :
JÉSUS LE CHRIST !
Oyez, oyez, preux chevaliers, faîtes attelez vos destriers
Au Saint Sépulcre, hâtez vos pas, pour pier le Roi des Rois
Les Pèlerins et les Ermites sont délivrés des Ismaélites
Sous le doux joug du Duc Godefroy viennent adorer le Roi des Rois !
4 La Complainte du Vendéen
Exténué je rame jusqu’à l’autre rive
Retenant mes larmes car je suis seul à survivre
Si cruel fût notre drame, visible sur mon visage
Je supplie Notre-Dame de retrouver mon village
Depuis que nous fuyâmes Granville les déceptions défilent
La mâchoire des Bleus déchire nos armées et nos villes
Ces pauvres âmes ont pour seuls mobiles en leur entreprise
Ces haines viscérales qui les conduisent à se montrer si viles
Haine de Dieu, Haine du Roy, de la Sainte Obéissance
Que les sujets doivent aux Lois, j’offre pour pénitence
Le Sang de mon Âme ruisselant, ces cauchemars qui m’harcelant
Menacent de m’achever tant mes souvenirs sont assommants
Je ne suis pas à plaindre j’ai mal pour ceux que l’Enfer attend
L’homme de mal ne peut atteindre l’homme de Bien pourtant
J’entends crier vengeance en moi non contre eux mais contre Satan
Ils ont tué mes frères mais je les aime, Seigneur sauvez ces gens
Passant seul la Loire en route vers le Bocage me hâtant
Caressant l’espoir d’y retrouver mon épouse mes enfants
Que fût mon effroi ne distinguant plus mon village d’antan
Les colonnes infernales ont tout rasé… Aucun Survivant !
Mes amours priez de toutes vos forces pour le Salut de vos bourreaux
Trois filles et un nourrisson renforcent, l’armée des Anges la-haut
Pourvu que leurs ignominies ne soient pas vaines Seigneur
Faîtes moi la Grâce d’expier pour eux jusqu’à ce que vienne mon heure
Saint Michel Archange, de vos ailes, protégez nous
Saint Michel Archange, de votre épée, défendez-nous
Saint Michel Archange, de votre lumière, éclairez-nous
Ô Marie Reine de France, par vos prières, sauvez-nous !
Les bleus ne savent pas ce qu’ils font, ils ont oublié ce qu’ils sont
Pardonnez ces effusions, ces spoliations ces expulsions
Par notre Charité excusons, par notre Foi supplions
Par notre Espérance ne plions point face au démon et PRIONS !
MATER DOLOROSA, ORA PRO NOBIS (bis)
5 Servus Mariae
Esclave de l’Argent, esclave de la réussite
Esclave des honneurs flatté qu’on te félicite
Pourvu qu’un beau matin les mondains te plébiscitent
Qu’on m’excuse de trouver cette servitude illicite
Esclave de Mammon, Esclave du Péché,
Esclave du qu’en dira t-on permets moi de prêcher
Que les seules chaines propices à mener au bonheur
Sont celles qui nous attachent à la Mère du Seigneur
EGO SUM MILES MARIAE, ECCE AMATOR SERVUS MARIAE
Esclave de la Chair, esclave de la République
Esclave des Faux Dieux, des balivernes ésotériques
Prétendu libertaire croulant sous un joug terrible
Esclave du mensonge, du progressisme et ses dérives
Rejoins les serviteurs de la plus Bonne Souveraine
Sûr qu’elle te sanctifiera au delà de tes rêves
Rien n’est plus doux, plus délectable, que d’être de Ses Fils
Pour être prémuni du diable, de ses hydres et ses sévisses
EGO SUM MILES MARIAE, ECCE AMATOR SERVUS MARIAE
Esclave de la Mode, esclave de la bien-pensance
Toujours aux antipodes d’une liberté que tu offenses
La tienne ne laisse libre cours qu’au plaisir et au Vice
Celle que la Sagesse a condamné d’office
Sois enfant de Marie crucifie ta concupiscence
Demande le cœur contrit que Son Fils pardonne tes offenses
Goûtes aux bienfaits exquis du Tribunal de Pénitence
De toute ton âme expie, loue Dieu de Sa Munificence
EGO SUM MILES MARIAE, ECCE AMATOR SERVUS MARIAE
6 Français ? Présent !
Qu’étrange fût ce bougre qu’on appelait « Français »
Quand je courrais les bourgs, il trottait dans mes pensées
Aux yeux des braves gens il n’est qu’un insensé
Son cœur à moi s’ouvrant, j’ai voulu l’encenser
L’allure d’un nazillon pas franchement avenante
Un rêveur nostalgique des légions allemandes
Toujours prêt aux bastons face aux anti-fascistes
Qui ne voyaient qu’en lui, un vulgaire raciste
Cherchant donc à percer ses convictions profondes
En lui ne paraissait aucune idée absconde
Il rêvait, il luttait pour voir un autre monde
Poindre le bout de son nez par une immense fronde
Lui et moi nous avions les mêmes adversaires
Tous les Sages de Sion, tous les foutus pervers
Qui vendent notre France aux vicieux margoulins
Dont j’aurai la décence de ne les citer point (QUI ?!)
Ce jeune vingtenaire, une canette à la main
Assoiffé de connaître ma vie de baladin
Moi bientôt trentenaire remerciais les efforts
De ce garde du corps lors d’un de mes concerts
Nous sommes si différents, si semblables à la fois
Français avait la flamme, Antoine avait la Foi
Sachant son ignorance, il prouva sa Sagesse
Questionnant ses ainés sur leurs luttes diverses
Il me taquinaillait proposant qu’à sa suite
J’aille aussi castagner une bande de gauchiste
Nous rîmes de bon cœur avec nos camarades
M’appellant Peaky Blinder lors de nos chamaillades
Tous deux fort ébahis que Dieu croise nos chemins
Je fus marqué à vie par l’homme peu commun
Faisant deux fois mon poids, je reste généreux
Que je suis bienheureux, la pesée n’eût pas lieu
Rat de bibliothèque, milicien intrépide
Grenouille de bénitier, un combattant terrible
Unis d’un même amour vous l’aurez bien compris
Envers celle qui toujours sera notre patrie
Peut-être le reverrai-je à la une des journaux
Occis dans une rixe par l’un de ses rivaux
J’aimerais davantage un beau jour de mes yeux
Croiser sa silhouette au détour d’un prie-Dieu
Ils seront fort nombreux à trouver insidieux
Que par ma poésie j’humanise un nazi
Car pour la bien-pensance, la Foi qui l’animait
Le raye des vivants pour toute éternité
J’en fais fît car chaque âme mérite que l’on l’aime
Fièrement je le proclame vous n’aurez pas ma haine
Ô je prie Notre Dame d’entendre prochainement
Ce brave camarade crier « Français, Présent ! »
7 Les Ripoublicains
C’est les Ripoublicains bienvenue chez les Ripoublicains
C’est les Ripoublicains, bienvenue chez les Ripoux
Bienvenue dans les coulisses du jeu factice
Où journalistes et énarques pactisent
Contre les gueux, les bleus, les vieux et les actifs
Contre les profs et les gendarmes finis au Pastis
Attribution des rôles aux acteurs et actrices
Jean-Luc enlève ton tablier deviens populiste
Eric dis-leur que c’est la faute des Islamistes
Pour qu’on puisse prétendre que les Français sont racistes
Marine apostasie quitte à traiter de Nazi
Ce petit juif aigri qui te vole tes amis
Tu t’es tellement reniée que ta propre famille
A fini par te fuir pour gagner son parti
Manu ne te repose pas sur tes acquis
Achève de brader notre industrie à nos ennemis
Empêche aux Français de gagner honnêtement leur vie
Étouffe de taxes le petit patron qui survit
C’est les Ripoublicains bienvenue chez les Ripoublicains
C’est les Ripoublicains, bienvenue chez les Ripoux
Bienvenue chez nous où la pensée a sa police
Celle qui distribue des gages de conformisme
Imbuvables moralistes les mêmes qu’au temps du Christ
On retrouve tous ces tartuffes au dîner du Crif
Rudy, Tristan, Mario chasseurs de complotiste
Simone, Jacques et Christine idoles dénatalistes
Agnès, Olivier, Laurent prêtres covidistes
Prennent leurs ordres au sein des loges Satanistes
Je prépare la liste pour le prochain Nuremberg
Celui là sera moins pipé je l’espère
Grâce à mon anonymat l’occupant me laisse faire
Mais y a comme de l’eau dans le gaz comme disait Robert
J’essaie d’être un digne contre-révolutionnaire
Soigner le mal par le bien nous comme un tortionnaire
Je ne veux pas leur tête mais qu’on les mettent au vert
Qu’enfin Dieu nous libère de cette engeance de vipère
C’est les Ripoublicains bienvenue chez les Ripoublicains
C’est les Ripoublicains, bienvenue chez les Ripoux
Bienvenue chez les vendus Atlantistes
Qualifiant les pacifistes d’attentistes
Prêts à tout pour qu’enfin s’accomplisse
Le funeste Messianisme des Talmudistes
Bienvenue chez les faussaires en bande organisée
Réduisant à la misère les affligés
Dieu me préserve de me taire ces hommes ont pactisé
Avec Lucifer lève toi Baptisé
Il nous reste que le Rosaire pour leur infliger
Une défaite par la prière afin d’alléger
Les offenses faîtes au Père et à Sa Majesté
Par ces blasphémateurs dont nous sommes infestés
Frère pose-toi des questions quand toute la Presse se lève
Pour cracher sa bile sur une œuvre qui révèle
Qu’en nos élites sévissent des pédocriminels
Que crois-tu qu’ils nous cachent en protégeant l’Ukraine
C’est les Ripoublicains bienvenue chez les Ripoublicains
C’est les Ripoublicains, bienvenue chez les Ripoux
8 Muse
Ô gente Muse qui m’apaise
Ce ne fût guère par la ruse
Que tu m’émus mais je t’accuse
D’avoir fait que tu me plaise
Je nous vois au bord de l’écluse
Nous promener main dans la main
Rêvant de doux lendemains
Où mon amour infuse
Ton petit cœur délicat
Chassant les peur et les tracas
Séchant tes pleurs, m’appliquant à
Dissiper tes rancœurs
Te taquinaillant de te titillant
Pour qu’apparaisse mon soleil
Si brûlant et si brillant
Sourire qui sommeil
Douce colombe aux yeux grisants
Sans vouloir être méprisant
Les prunelles des autres donzelles
Font pâles figures face aux tiennes
Peut-être qu’un jour tu seras mienne
Ma vie aura un goût de miel
Si le Seigneur me fait l’honneur
De faire ton bonheur
J’irai à chaque heure au combat
Aurai à cœur d’être ton bras
Ton bouclier et ton refuge
Où rien ne te troublera
Tu seras mère je serai père
Cela n’aura rien d’éphémère
Les jours amères seront fort loin
Derrière nous très chère
Il est vrai que nous souffrirons
Mais ensemble Dieu nous prierons
Par Ses prouesses ma belle
De nous rester fidèle
Aux promesses que devant l’Autel
Nous prononçâmes sans peine
Pour qu’à ton cœur le mien s’enchaîne
Jusqu’à la Vie Éternelle
Je te présente mes hommages
Si l’avenir est à l’image
De nos premiers jours, tourner la page
Me semblerait dommage
Si tu es docile à mon Amour
Je te promets d’être toujours
Ton chevalier qui corps et âme
Entretiendra la flamme
Ô ma mie ne sois pas sévère
Envers l’ardeur de ces vers
Ces mots sont le Sang de mon Cœur
Qui du tien seront vainqueur
Je clame haut et fort mon innocence
Car celle qui émoussa mes sens
Je tairai son nom par pudeur
Préservant ton honneur
Je n’attends qu’un mot de ta bouche
Pour jubiler enfin ma douce
Si au contraire du m’éconduis
Tu m’en verrai contrit
De n’avoir pu te conquérir
Craignant sans toi de périr
Que toute ma vie ne soit qu’ici bas
Un languissant célibat
9 Pauvre Francis
Au détour d’un troquet, au fin fond du Béarn
Je me pris d’amitié pour l’humble dont le charme
Rend mon âmes béate, m’extirpe tant de larmes
Sa détresse béante me fait prendre les armes
Ce brave se prenant pour un idiot fini
Homme de peu de science, je le savais béni
De compter parmi ceux dont le Seigneur a dit
Le Royaume des Cieux sera leur paradis
Un bon père de famille dont j’eus l’insigne honneur
De devenir l’ami, à mon plus grand bonheur
Ses maux et ses sévisses font vaciller mon cœur
Passant du rire aux pleurs pour ce Pauvre Francis
Pauvre Francis, Pauvre Francis
Que Marie vous bénisse
Baignez vous dans ses larmes
Et non dans le Pastis
Pauvre Francis, Pauvre Francis
Que Jésus vous guérisse
De vos regrets amères
De votre ardent supplice
Malgré ces quelques verres d’alcool dans le tarin
Il ne servait à rien de me montrer sévère
Esquinté par la vie, le labeur, l’injustice
D’être souvent trahi, jeté du précipice
Par ceux à qui le bougre accordait sa confiance
Jetant ainsi le trouble en lui par inconscience
Transpirant l’amertume de tant de déchirures
Que les péché des hommes éreinte et défigure
Pardon Seigneur dit-il d’être un pauvre imbécile
Emprunter vos sentiers m’est bien trop difficile
Je le confie alors au secours maternel
De Notre-Dame encore, pour le conduire au Ciel
Pauvre Francis, Pauvre Francis
Que Marie vous bénisse
Baignez vous dans ses larmes
Et non dans le Pastis
Pauvre Francis, Pauvre Francis
Que Jésus vous guérisse
De vos regrets amères
De votre ardent supplice
Quelques vers élogieux, gage de ma gratitude
Envers ce Monsieur livrant ses turpitudes
Au très Indigne Esclave de la Reine Immaculée
Dont le joug si suave fait de lui un miraculé
Promis vous ai-je mon brave, de ne point oublier
Vous avoir rencontré à quelques lieues du Gave
Votre doux nom se grave ainsi en ma mémoire
Quel serait mon émoi d’un beau jour vous revoir
D’ici là que la grâce puisse vous consoler
Si vous vous sentez las, malheureux, esseulé
Et sachez qu’il n’ait guère d’humain en notre terre
Qui autant m’enrichisse que vous Pauvre Francis
Pauvre Francis, Pauvre Francis
Que Marie vous bénisse
Baignez vous dans ses larmes
Et non dans le Pastis
Pauvre Francis, Pauvre Francis
Que Jésus vous guérisse
De vos regrets amères
De votre ardent supplice
Inscrivez-vous pour ne rater aucune sortie.
Crédits | Graphisme, Site et Communication : Elena Créations & Conseil
Bonjour.
Nous vous suivons régulièrement, bravo pour votre apostolat.
Nous avons un bar et un restaurant à Corcoue sur Logne, non loin des Lucs sur Boulogne et si vous avez l’occasion de venir par là, on peut vous accueillir avec grand plaisir.
Voici l’ adresse mail du restaurant :
laforgesaintjoseph@gmail.com
Téléphone 0240736169
Merci pour la proposition,
Je vous appelle dans la semaine.
Saint Noël à vous !
Bonjour Louis-Antoine,
J’ai écouté ton premier CD reçu en cadeau ce matin par une maison d’édition, et je tiens à te remercier !
C’est vraiment bien et inspirant je trouve, bravo, continue !
Merci cher ami,
Quelle maison d’édition vous l’a offert si ce n’est pas indiscret ?
(vous pouvez me répondre en privée à louisantoine@netc.fr si vous le souhaitez.
Que Dieu vous bénisse,
Marialement,
Louis-Antoine