Très chers lecteurs,
Une triste actualité m’oblige moralement à rédiger cette lettre ouverte pour défendre devant mes Frères Catholiques, un ami abusivement persécuté par nombre d’entre eux.
Je tiens à contextualiser en évoquant pour ceux de mes lecteurs qui l’ignoreraient ;
– quel homme est-il ?
– quel est ma relation avec ce dernier ?
– que lui reproche t-on ?
– quelle actualité me pousse ainsi à m’exprimer publiquement à son sujet ?
QUI EST VINCENT REYNOUARD ?
Ancien professeur de mathématiques à l’Éducation Nationale dont il fût radié à la fin des années 90 pour son idées politiques, il fût militant politique nationaliste dés son plus jeune âge et s’investit alors dans le révisionnisme historique.
Il comprit avec justesse que la clef de son combat résidait dans le rétablissement de la Vérité Historique, en particulier concernant les périodes sur lesquelles le pouvoir en place fabulait, pour légitimer leur parasitaire, infamante et oppressante Occupation et pour se maintenir.
Comme il me le confia, Vincent n’est pas un historien de formation devenu révisionniste par déontologie, mais d’abord un militant politique qui jugea nécessaire de débusquer les mensonges historiques enseignés sur la Seconde Guerre Mondiale, afin de mettre à nu et combattre l’idéologie dominante qui triompha au Tribunal Inique de Nuremberg ; le Mondialisme.
Il se fît connaître en particulier pour les découvertes qu’il fît au prix de décennies de travaux sur le Drame d’Oradour-sur-Glane. Sommairement ; appuyé sur des témoignages de première main et une enquête longue et minutieuse de sa part, il en vint à la conclusion qu’un stock de munitions des Résistants avait malencontreusement pris Feu dans l’Église d’Oradour, et que contrairement aux dires de la Version Officielle, le drame n’était point le fruit d’un meurtre de masse, commis de sang froid par les troupes Allemandes, mais bien d’un malheureux accident suscitant une réaction en chaîne qui mena à cette fin terrible. De plus, la Version Officielle prétendait qu’il n’y avait pas de réseau de Résistance autour du Village, afin encore de diaboliser les Nationaux-Socialistes, ce que Vincent est parvenu à réfuter par ses recherches. De peur d’en mal parler, je vous invite plutôt à lire son ouvrage sur le sujet, que vous pouvez vous procurer à la Librairie Arts Enracinés.
Sans cesse persécuté par la Justice Française obéissant au doigt et à l’œil aux officines communautaires et délétères que sont la LICRA, la DILCRAH, l’OJF et tous les autres variants d’un même Virus visant à faire taire les contestataires, Vincent finira par purger une peine de 9 mois de prison ferme entre 2010 et 2011 à Valenciennes, et quelques temps après il croupira à nouveau en Prison à Fleury-Merrogis pour quelques mois.
Il passera par la clandestinité en Belgique, puis en Angleterre durant de longues années pour tenter de passer entre les mailles du filet, vivant de cours particuliers dispensés sous un faux nom, jusqu’à son arrestation en Écosse le 10 Novembre 2022 à l’issue d’une traque des services secrets Anglais. Il sera emprisonné 15 mois à Édimbourg jusqu’à son extradition en France que le Gouvernement de Monsieur Macron appelait de ses vœux ; le 2 Février 2024… Il recouvrera sa relative liberté suite à un Providentiel Recours Juridique lui permettant de jouir d’une liberté conditionnelle sous contrôle judiciaire jusqu’au prochain jugement et l’application des nombreuses autres peines qui pesaient sur lui. Pour les non-initiés sur ces sujets là, je rappelle que tout un Arsenal de Lois ( Loi Fabius-Gayssot, Loi Pleven I, Loi Pleven II etc…) permettent de condamner à de la Prison Ferme des individus faisant simplement des recherches historiques (dite négationnistes) ou professant une opinion (dite raciste), ou rappelant la Loi Naturelle (dite Homophobe).
Lorsque l’État Profond a à faire à un homme jugé dangereux pour eux, ils sortent l’artillerie lourde et y vont de tous les superlatifs sensationnalistes ; « Contestation de Crime contre l’Humanité, Apologie de Crime de Guerre, Incitation à la Haine etc… ». Et c’est ainsi qu’un rat de bibliothèque, gratte-papier inoffensif et pacifique comme mon Cher Ami Vincent, se retrouve en Captivité.
MA RENCONTRE AVEC VINCENT

Alors que votre Baladin menait à bien sa Mission de « Troubadour de Notre Dame » sur les routes de France, acceptant dans le même temps chaque invitation qui lui était faîte pour porter haut et fort les couleurs de la Très Sainte Vierge Marie, je reçus une proposition de la part d’Yvan Benedetti que j’avais eu l’honneur de rencontrer lors d’un Mariage en pays Ponot, où je chansonnais quelques mois auparavant.
Il me fît le privilège, moi qui enchainait jour après jour les marchés de campagne avec pour quotidien l’anonymat et l’indifférence de la plupart des passants, de m’inviter à me produire en introduction des conférences que Vincent devait donner à Montauban le 12 Avril et à Perpignan le 13. Car celui-ci à peine sorti des geôles de nos ennemis, recommençait à « sévir ».
Il essaimait la parole révisionniste partout ou le micro lui était ouvert, comme moi j’essaimais modestement la Parole de Notre Seigneur Jésus-Christ au prix du mépris. Nous étions faits pour nous rencontrer, le Bon Dieu a organisé cela, Béni soit Son Saint Nom !
J’évoque à chaud dans cet entretien (à 4:10) ma rencontre avec Vincent
Plusieurs choses m’ont bouleversé lors de ces quatre premiers jours passés avec Vincent.
D’abord la Vertu Chrétienne de cet homme qui disait avoir perdu la Foi, qui accepta humblement de porter la Médaille Miraculeuse que je lui offrit et m’en remerciant. Sa naturelle joie de vivre l’aidant à puiser en un rien de l’enthousiasme, pour ainsi se blinder face au combat. J’eus l’impression que rien ne pouvait atteindre cet homme tant il était conscient des risques qu’il encourrait, tout en les assumant avec Dignité.
L’Humilité de son Discours lorsqu’il proclamait « Ne me plaignez pas, c’était bien la prison, je pouvais travailler tranquillement »
» N’en voulez pas à ceux qui me persécutent, ils font leur travail et moi le mien. »
» Je ne suis pas plaindre, ma vie ne manque pas de sel, elle est excitante. »
La Vertu de Détachement surtout lorsqu’à table à un convive lui demandant si il se préférait libre avec nous que dans sa prison à Édimbourg il dît répondit sans respect humain « l’un ou l’autre, peu importe, ça ne m’empêchera pas de passer une bonne journée ».
L’intérêt pour ma personne et l’Amitié toute singulière qu’il me porta m’émut également, cette confiance et cette sympathie que je sentis promptement se bâtir entre nous. Nous partageâmes tous deux la scène à Montauban, Perpignan, Dunkerque, Lille, au Camp de Jeune Nation et au Festival de la Réconciliation en Bourgogne… et à chaque fois il s’asseyait au premier rang du début à la fin de mes chansonnades comme si ce fût la première fois qu’il les entendit.
Il fût un mentor sans même le vouloir, un homme dont j’ai tiré des leçons pratiques pour ma Sanctification rien qu’en l’observant, un ascète qui comme moi ne buvait pas une goutte d’alcool. J’ai trouvé en lui un Artiste un vrai, et c’est certainement l’une des causes de notre complicité, un homme différent et original, un contemplatif dont j’admire la simplicité. Il n’est de toute évidence guère obsédé par son combat politique qu’il sait laisser de côté pour avoir des conversations légères et honnêtes sur les âmes, la nature, les sciences, la Famille, le sens de la vie. Lorsque j’étais pour le travail de passage à Paris, il me reçu sans hésiter et avec soin, me sachant hostile à cette ville qu’il aime tant, il parvint même à m’y faire passer un bon séjour, ce qui n’était pas gagné d’avance. Il ne manqua jamais ensuite de s’enquérir de moi par courriel lorsque nos tournées respectives ne permettaient plus que l’on se rencontre aussi régulièrement qu’auparavant.
J’ai senti Vincent touché par la Foi qui m’animait et que j’affirmais, lui L’ayant perdu ne m’en a jamais accablé, nous en avons parlé et je n’ai jamais caché mon désir sincère de le voir revenir à Notre Seigneur et à Notre Dame.
On me pense provocateur lorsque je le proclame, mais je le réaffirme ici ; c’est grâce à Vincent Reynouard que j’ai cessé définitivement d’être obsédé par la Question Juive, lui qui pourtant voue sa vie à réfuter les Mensonges Mémoriels et la Religion de la Shoah, a fait au moins en ma personne un potentiel Judéophobe de moins. Il m’amuserait qu’il puisse user de ce témoignage pour sa défense à son prochain procès, mais c’est hélas vain car la mauvaise Foi de ses accusateurs ne sauront l’entendre, Dieu ayant mis un voile sur leurs Cœurs remplis de Haine.
QUE LUI REPROCHENT LES CATHOLIQUES ?

Il m’est difficile d’entendre des vociférations de la part de mes Frères contre mon Ami qui a le malheur d’avoir perdu la Foi, et qui aurait juste besoin de nos prières, de notre soutien dans les persécutions qu’il subit et de notre Amitié.
J’entends de certains qu’il est un « lâche qui a préféré mener son petit combat, abandonnant sa Famille à cause de ses positions imprudentes », d’autres qu’il est un « dangereux antisémite à ne pas fréquenter », que « son combat est secondaire et donc une perte de temps » ou encore qu’il est un « apostat public et ennemi de la Foi Catholique par les positions qu’il prend ».
Répondons point par point :
- La première accusation est imprudente, présomptueuse, grave et stupide, émanant de personnes étant dans l’ignorance et l’indiscrétion la plus totale.
– Imprudent car le procès d’intention l’est toujours.
– Présomptueux car ceux ci ne connaissent rien de sa vie privée.
– Grave car éduquer c’est d’abord montrer l’exemple, et aller en Prison pour la Vérité est davantage louable que demeurer Libre mais Lâche. L’un de ses fils est en bonne voie pour être ordonné Prêtre grâce aussi à son père qui lui a permis d’avoir accès à une éducation catholique digne de ce nom et qui fût exemplaire en se Sacrifiant pour la Vérité.
– Stupide parce qu’on ne finit pas sciemment emprisonné lorsqu’on mène un combat dangereux, ce sont les risques du métier, simplement. - L’accusation d’antisémitisme, de la part de Catholiques m’écœure au plus haut point, car vous criez ainsi avec nos Ennemis et cette accusation risque de se retourner un jour contre vous, car ce n’est pas à nous de décider si nous sommes antisémites, mais à la Bien-pensance et au Tribunal Médiatique qui décerne les honneurs et les opprobres.
De plus, cette accusation court-sur-patte et facile et relève d’un réflexe pavlovien qui ne vous honore pas.
Enfin, il est évident, il suffit de l’écouter que Vincent ne l’est pas. - Son Combat n’est pas Secondaire, car Dieu est Vérité, et qui défend la Vérité, même Historique, travail pour le Bien et donc pour Dieu qu’il le veuille ou non, qu’il le sache ou non. « Heureux ceux qui subissent l’injustice, car le Royaume des Cieux est à eux ». La Religion de la Shoah est une contre-Religion, dans l’inconscient collectif ; Auschwitz a remplacé le Golgotha, les « 6 millions » ont remplacé Notre Seigneur Jésus-Christ, Hitler a remplacé Satan…
Les historiens révisionnistes de la Seconde Guerre Mondiale travaillent à faire tomber le masque de cette Fausse Religion à laquelle tous les occidentaux doivent rendre un culte sous peine de mort social. Culte dont on bassine nos enfants dans les écoles publics ou des sommes astronomiques sont investis pour que nos têtes blondes visitent un Mémorial de la Shoah ou même Auschwitz pour certains. - Enfin, l’accuser de combattre la Foi Catholique est excessif. Vincent a produit un écrit pour expliquer pourquoi il a perdu la Foi, parce qu’il était submergé de courriels, de questions et de reproches à ce sujet et qu’il a voulu clarifier son cheminement une bonne fois pour toute. Non, Vincent ne se lève pas tous les matins se disant « je vais tenter de faire perdre la Foi aux Catholiques », il n’en n’a pas le temps, et d’autres combats et préoccupations prédominantes dans ses copieuses journées de travail.
J’inviterai humblement mes Frères Catholiques, qui déplorerait que Vincent ait perdu la Foi à agir en Bons Chrétiens, à prier pour lui, à louer son travail dans ce qu’il a de louable, a argumenter calmement ou simplement se taire.
Car continuant ainsi, certains vont se rendre haïssables, mais plus grave encore, vont jeter l’opprobre sur notre Sainte Religion, en se montrant dur de cœur, lent à pardonner et à aimer, lent à se sacrifier pour la conversion des autres. Aucun polémiste, aucun orateur, aucun publiciste ne pourra faire autant de mal à la Religion Catholique, qu’un Catholique insuffisamment Saint et insuffisamment Vertueux, pour ne pas dire un Catholique Haineux et Vicieux.

TRISTE ACTUALITÉ
Comme je l’évoquais à Vincent lors d’une de nos entrevues, c’est grâce à l’Hebdomadaire Rivarol que j’ai commencé à m’intéresser à son cas, des années avant de le compter parmi mes amis. En effet, j’étais fasciné par sa fuite après que des Agents de la Police Anglaise eurent tenté de l’interpeller à son domicile Londonien, et que celui ci leur fila entre les doigts. Je suivais sa traque presque au jour le jour par Rivarol qui nous donnait de ses nouvelles. Jerôme Bourbon, Rédacteur en Chef du Journal, lui avait même rendu visite en Écosse durant celle-ci, et recevait de lui des lettres lui permettant d’informer les lecteurs en donnant des nouvelles rassurantes.
Une fois Vincent embastillé, Monsieur Bourbon nous appelait également à lui écrire pour que ce dernier se sente soutenu de sa cellule et ne s’ennuie point, j’avais pour ma part rédigé une lettre qui n’est jamais parti, par une forme de timidité mal placé, pensant à tort déranger un prisonnier excessivement sollicité par les lettres de ses soutiens.
Lorsque Vincent fût extradé comme un vulgaire terroriste d’Édimbourg à Paris, le 2 Février 2024, et qu’en raison du Droit des Extraditions (l’accusé ayant purgé la totalité de la peine pour laquelle il fût extradé), les autorités durent se résoudre à le laisser libre, on le retrouvait le soir même sur le canapé rouge des Entretiens Rivaroliens animés par Florian Rouannet et Jérôme Bourbon.
Par la suite, le journal lui a ouvert ses tribunes et ses locaux à maintes reprises pour relayer ses travaux, évoquer ses procès en cours ou simplement bénéficier de son expertise en ses colonnes.
On en vient à l’actualité désolante qui me fît écrire ces lignes.
Par la pression de quelques Catholiques mal-inspirés sur la Direction de Rivarol, allant je crois savoir jusqu’à une forme de harcèlement, de reproches incessants envers Monsieur Bourbon, et même de menaces de désabonnement d’un certain nombre de lecteurs… ils sont parvenus à faire fléchir l’intrépide Rédacteur en Chef, encouragé en ce sens par Vincent lui même, digne et pragmatique une fois de plus, prêt à se sacrifier pour son ami Bourbon (dont l’amitié remonte à une trentaine d’année), et son Journal espérant faire taire les vautours.
« Ne considère pas qui parle, mais ce que tu entends de bon, confie le à ta mémoire. » Saint Thomas d’Aquin
On reproche à Jerôme Bourbon d’ouvrir ses colonnes, de défendre et d’inviter à ses entretiens Rivaroliens le principal révisionniste Français, quand on sait que le Révisionnisme est l’un des sujets de prédilections historique du journal, de quoi se mêlent les lecteurs ? Monsieur Bourbon s’en est défendu il y a quelques jours :
« Je ne défends Vincent Reynouard que face à la persécution injuste et constante qu’il subit pour ses positions sur le plan historique et qui lui ont déjà valu plusieurs années de prison. Il a l’interdiction (et il le sait) dans RIVAROL et dans les vidéos que nous faisons ensemble d’exposer ses actuelles positions philosophiques et religieuses. Quand quelqu’un est persécuté, on ne regarde pas s’il a un certificat de baptême ou un billet de confession. On essaye de lui venir en aide contre la persécution qu’il subit. J’ai été profondément attristé (et le mot est faible) par l’évolution religieuse de Vincent qui date d’une quinzaine d’années mais doit-on rompre tout lien avec lui alors même que sur le plan du révisionnisme il est toujours autant persécuté et qu’il est très courageux dans ce domaine ? Il faut, me semble-t-il, distinguer les domaines. J’ai le sentiment que beaucoup de tradis auraient rejeté la femme adultère, de même que beaucoup passent leur temps à s’excommunier entre eux.. La charité doit s’exercer même envers des personnes éloignées de nos propres convictions. C’est en tout cas ainsi que je comprends l’Évangile et la religion catholique. De plus, y a-t-il dans RIVAROL et dans les vidéos que je fais des éléments contre la foi et la morale catholiques ? Je ne le crois pas. Si c’est le cas, ayez la charité de me le dire et je tâcherai de corriger ce qui doit l’être. Toute vérité doit être défendue, qu’elle soit politique, historique, morale ou religieuse. Et tout persécuté injustement doit être aidé. Bien cordialement. Jérôme Bourbon. »
Cela n’a point suffit, quelques jours plus tard, d’un commun accord, les deux hommes cessent leur collaboration pour complaire à une poignée de grincheux qui se permettent de poser des ultimatums à un Journal qui défend courageusement leurs idées au prix de grands sacrifices, d’innombrables procès, de dizaines de milliers d’euros d’amendes et bientôt peut être, de peines de Prison Ferme pour son Directeur de la Publication, si les ennemis de la Parole Libre parviennent à leurs fin.

CONCLUSION
Nous sommes dans un cas d’école de ce fléau des temps modernes consistant à donner de l’importance aux opinions des uns et des autres, qu’elles soient pertinentes ou non, qu’elles soient justes ou non, qu’elles soient utiles ou non.
C’est l’une des conséquences funestes de la démocratie, flatter les bas instinct orgueilleux des Hommes pour faire qu’ils donnent leur avis sur tout présumant que celui ci a un quelconque intérêt lorsqu’il dépasse les bornes de leurs compétences.
Je suis un fidèle abonné de Rivarol, même si leur ligne n’est pas la mienne, je leur manifeste un soutien public. Simplement parce que jusqu’alors, ils informaient sans concession, laissant la parole à des points de vues divers, n’hésitant pas à se montrer entier quand il fallait défendre la Morale et la Vérité.
Moi Légitimiste, eux Nationalistes.
Moi Catholique attaché au Saint Père et à la Sainte Église, eux Sédévacantistes.
Moi Judéo-Indifférent, eux Judéo-Centrés.
Mais pourtant unis par une soif de l’Absolu, par un Amour de Notre Seigneur Jésus-Christ et de Sa Très Sainte Mère, par un goût pour le panache et le franc-parlé, la verve et le calembour, par un attachement aux belles lettres Françaises, aux auteurs, aux poètes, aux grands hommes qui ont fait notre Histoire et notre Pays.
Je me sens triste et amère une fois de plus, de ces guerres de chapelles que ce soit Religieuses ou Politiques, de ces divisions dont on ne peut pas se payer le luxe tant les ennemis déclarés et avérés sont nombreux, de ces balles que nous nous tirons dans le pied, tandis que les dépeceurs de la France pavoisent, dansent et caracolent sur le dos des pauvres gens.
N’incriminons pas à tout va, ne regardons pas la paille dans l’œil du voisin mais plutôt la poutre dans le notre, nous demandons seulement ce que nous pourrions faire pour nous Sanctifier, grandir dans la Vertu, être davantage utile au Combat Spirituel et Politique, là où le Bon Dieu nous attend. Cela vaudra mieux que de crier avec les loups en s’attaquant à Monsieur Reynouard et Monsieur Bourbon, qui chacun à leur place apportent leur pierre à l’édifice, faisant preuve d’une Virilité Intellectuelle, d’une Résilience à toute épreuve et d’un Courage Inspirant.
Que Dieu aie pitié, qu’Il convertisse mon Cher Ami Vincent et ceux qui le persécutent,
Qu’Il fasse que cet écrit ne soit pas vain,
Par Sa Très Sainte Mère,
Ainsi-soit il,
Louis-Antoine, Servus Mariae
Bravo et Merci, Louis-Antoine, pour ces fortes paroles!
Merci Évelyne, je ne me fais pas que des amis une fois encore, mais je me réjouis d’être compris par certains dont vous faîtes parti.
Que Dieu vous bénisse,
J’ai reçu à Montauban Vincent Reynouard et nos amis nationalistes yvan benedetti et Pierre Marie Bonneau et Louis Antoine notre cher troubadour nous avons passé une bonne soirée Rivarol doit être une liberté totale pour nos invités quel qu’il soit pour que la vérité rende libre que dieu nous protège et nous donne la foi Vincent tu sera toujours le bienvenu à Montauban
Bonjour Thierry,
J’ai un souvenir agréable de mon passage par chez vous à Montauban et de cette soirée conviviale, j’espère que nous réitérerons.
Que Dieu vous bénisse,
Louis-Antoine
la fidélité est une bonne chose Quoi que les prétendus redresseurs de torts veulent mettent en avant pour se justifier de leur propre faiblesses . Autre que le fait , qu’ils devraient aussi revoir sérieusement leur prétentions sur un prétendue Nazisme où du National Socialisme pour faire » taire » tous les contestataires du gauchisme Judéo-sionisme .
Cher monsieur Louis-Antoine,
Je partage votre analyse et particulièrement sur un point, la vérité est bonne à chercher quelque soit le domaine, nous ne pouvons que remercier ceux qui s’y astreignent sans concessions et louer l’héroïsme dont ils font preuve. Il y a juste une tournure de phrase qui m’étonne un peu, que je trouve un peu maladroite, l’opposition entre le sédévacantisme et l’attachement au Saint Père et à la Sainte Eglise. Il me semble que tous les catholiques sont attachés au Saint Père et à la Sainte Eglise, le problème est ailleurs. Cela dit j’ai très bien compris aussi ce que vous vouliez exprimer dans cette incise. Très bonne continuation, en union de prière dans le Coeur de notre très Sainte Mère.
Madame,
Je vous remercie pour votre message et vos encouragements.
Conçernant la tournure cela aurait peut être était plus clair si j’eûs écrit « au Saint Père le Pape François » , car me conçernant Notre Seigneur a fait une promesse à Son Église, et je laisse par Prudence le bénéfice du doute à l’Autorité (meme si cette Autorité use mal de Son Autorité), et je prie pour la Conversion du Saint Père qui semble etre dans l’errence comme ses predescesseurs depuis 1958.
Que Dieu vous bénisse,
Marialement,
Louis-Antoine