La Révolution et la Vendée : Genèse

« Il est impossible de contester que l’Histoire de France, est une ascension, comme histoire d’une nation tant que l’influence morale de l’Eglise y domine, et qu’elle devient une chute, malgré tout ce que cette chute à de brillant et d’épique, dés lors que les écrivains, les savants, les artistes et les philosophes se substituent à l’Eglise et l’évincent de sa domination »
 Mgr Henri Delassus

INTRODUCTION

Mes bien chers lecteurs,
Chaque premier mercredi du mois, je vous livrerai un article touchant à la Révolution française et à la Résistance Vendéenne qui s’est soldé, il est bon de le rappeler, par un populicide faisant plus de 500 000 victimes, si abominable dans la forme qu’aucun qualificatif n’est assez fort pour en rendre fidèlement compte.
Au préalable, pour les affamés de lecture, je vous renvoie aux travaux du Chanoine Augustin Billaud et ceux plus récents mais tout aussi qualitatifs de Reynald Sécher. Pour aborder ce grand sujet qu’est la Révolution française, je m’appuierais tantôt sur Jacques Bainville, tantôt sur Pierre Gaxotte, mais aussi sur Jean-Christian Petitfils, Marion Sigaut, Mgr Henri Delässus, le Père Augustin Barruel, et les nombreux contemporains de cette boucherie, qui en ont témoigné. Vous trouverez la bibliographie complète en bas de page.
Afin de ne pas entrer trop prestement en matière, je me propose de vous exposer la genèse de ce triste et glorieux événement, une nécessité pour prendre de la hauteur et vous éviter d’avoir un niveau de lecture superficiel et binaire.

RENAISSANCE

Ce que les tortionnaires de la Vérité ont appelé à tort la Renaissance, pour l’opposer à un soi-disant archaïque « Moyen-Âge », est pour tout vous dire, le commencement d’une chute pour notre civilisation. On peut la situer entre 1330 -sous Philippe VI- et 1630 -sous Louis XIII. N’étant je le confesse, pas spécialiste de la période, je la définirais simplement comme l’émergence des arts influencés par le paganisme Gréco-Romain, en rupture avec l’Âge d’Or finissant de l’Helléno-Christianisme figuré par la Scolastique. 
Bien sûr, tout n’est pas à jeter dans cette ère qui a vu émerger d’illustres peintres et architectes -Raphaël, Leonard de Vinci, Michel-Ange, Fillipo Brunelleschi…- des explorateurs -Vasco De Gama, Christophe Collomb- et de brillants hommes de lettres – Montaigne, Rabelais, La Boétie, Erasme, Thomas More…-.
Ce qui me paraît le plus intéressant et le plus lourd de conséquence, c’est le bouleversement institutionnel nous emmenant de la féodalité à la centralisation monarchique, les nouvelles théories politique de Jean Bodin et Machiavel, et enfin les tribulations religieuses ; affaiblissement du pouvoir temporel des papes (XIVème siècle), montée du Gallicanisme à la suite de Philippe le Bel, puis de l’Anglicanisme sous l’impulsion d’Henri VIII, et enfin, pour le plus grand malheur des âmes et de la Morale ; la Réforme Protestante.

REFORME

« Le Protestantisme de Luther est l’écho sur la Terre du « non serviam » de Lucifer »
Mgr Henri Delassus

Le XVIème siècle est marqué bien sûr par la formidable domination de Charles Quint, qui en a fait voir de toutes les couleurs à l’Europe entière, en particulier à la France et à son Souverain François Ier. Mais ce qui va nous intéresser, c’est d’abord la Réforme Protestante de Martin Luther, dont on peut dater le commencement au 31 octobre 1517 lors de la publication de ses « 95 thèses ».
Cette pernicieuse hérésie, trouve sa singularité dans sa régression de l’authentique Christianisme au Judaïsme, sa négation de la nécessité des bonnes œuvres pour se sauver -la Foi suffit-, sa révolte contre l’autorité légitime de la Sainte Eglise fondé par Notre Seigneur Jésus-Christ, sa diminution du surnaturel, des sacrements et du Saint Sacrifice de la Messe, son sacerdoce universel où chaque fidèle devient prophète, prêtre et roi, et son incompréhension de la prédestination Augustinienne, allant jusqu’à professer que Dieu crée des âmes pour les damner, et qu’elles ne peuvent rien y changer.
L’autre perfide inversion de cette doctrine concerne la richesse, et si je le précise, c’est parce que c’est ici qu’on trouve les origines immorales de l’oligarchie bancaire anglo-saxonne. Fini le Sermon sur la Montagne

« Heureux les pauvres en esprit, car le royaume des Cieux est à eux » Matthieu 5 :3

Fît de cet avertissement du Sauveur :

« Il est plus facile à un chameau de passer dans le trou d’une aiguille qu’à un riche d’entrer dans le Royaume des Cieux » Mt 19 :16-26

Désormais, place à cette fable consistant à prétendre que la richesse est un signe de prédestination et d’approbation. L’erreur aurait pu en rester là, mais la conséquence est accablante, de nombreux protestants tentent d’accéder coûte que coûte -donc au détriment de la Justice- à la richesse, afin de se persuader ainsi que Dieu les approuve et les bénit.
On sait aussi que la fausse doctrine de la Foi seul comme critère de prédestination, permit aux Anglo-protestants de légitimer les génocides amérindien et aborigène, car après tout à quoi bon convertir par la Sagesse et la Douceur de la prédication, des sauvages qui sont de toute façon damnés et voués à l’enfer. La pratique de l’esclavage omniprésente aux Etats-Unis au XIXème siècle -qui n’est pas le propre des véritables chrétiens-, peut aussi se comprendre en considérant l’essence subversive de la doctrine protestante.

C’est peu après cette Réforme que d’importantes loges Maçonniques voient le jour, fondées par Philippus Mélanchton -ami de Luther-, Herman de Viec -Archevêque de Cologne-, Jacobus d’Anvers et Colligny -chef des Calvinistes de France-.
La conjugaison de ces deux courants étroitement liés, mettra l’Europe à feu et à sang, mais surtout, finira par réussir à empoisonner les consciences, soustrayant ainsi au Bon Dieu tant d’âmes, pour les livrer à l’orgueilleux Satan.
Notre Reine Régente d’heureuse mémoire, Catherine de Médicis, puis Notre Bon Roy Henri III auront tout tenté pour étouffer dans l’œuf ce dangereux phénomène, mais il se répandra malgré tout, bien aidé par l’Edit de Nantes promulgué par Henri IV et par la propagande incessante pour laquelle les protestants et les maçons, ont il faut le dire, un indéniable talent. Ils furent bien aidé par le fait que l’erreur est plus facile à rependre que la Vérité, et comme l’affirmera Weishaupt, « ce projet est sûr d’aboutir car il compte sur les passions de l’homme ».
Concernant l’Eglise, nous sommes au siècle de Saint Pie V, et du Saint Concile de Trente, où l’erreur a été combattu et condamné comme il se doit par la Fidèle Gardienne du dépôt de Jésus-Christ.

LE GRAND SIECLE

Heureux XVIIème siècle où la France retrouve « le seul rang où elle est Elle-même » – c’est-à-dire le premier-, dixit Charles De Gaulle.

Henri IV malgré ses mœurs douteuses et sa complaisance pour l’hérésie -il a nommé Sully premier ministre-, a le mérite d’avoir réformé les institutions et contribué à la construction d’un Etat Fort et à la grandeur du Royaume, Louis XIII, secondé par Richelieu, a continué cette œuvre et Louis XIV l’a parachevé. Il y a eu certes des erreurs commises de part et d’autre, comme les alliances contestables contractées par Richelieu avec les puissances protestantes, la Guerre de Hollande (1672-1678) que Louis-le-Grand a profondément regretté, et pour laquelle il a demande pardon son peuple à la veille de son trépas… mais dans l’ensemble, la centralisation monarchique achevée, les métiers florissants, la prospérité et la profusion de Saints et de Missionnaires font pour le coup de ce siècle, une véritable Renaissance.       
Parmi les catholiques français qui l’ont marqué, je citerais Saint Agnès de Jésus, Sainte Jeanne de Chantal, Saint Vincent de Paul, la Bienheureuse Marie-Catherine de Saint Augustin, Saint Jean-Eudes… et enfin Saint Louis-Marie Grignon de Montfort.

LE PERE DE MONTFORT PLANTE LES GRAINES DE LA RESISTANCE PROCHAINE

Né le 31 janvier 1673 à Montfort-sur-Meu, Louis-Marie Grignon de Montfort est ordonné prêtre en 1700 après sept ans de séminaire à Saint-Sulpice.
Il consacre sa vie à la prédication, à chacune de ses arrivées dans un village, une clochette sonnait et il clamait « Allons, mes bons-amis, allons en paradis. Quoiqu’on gagne en ces lieux, le paradis vaut mieux ». Il s’est rendu célèbre par son « Traité de la Vraie Dévotion à la Sainte Vierge » et par la fondation de la Compagnie de Marie, qui deviendra une double congrégation après sa mort ; Les Pères Montfortains et les Frères de Saint Gabriel.
Lui qui a composé plus de 450 cantiques, dont certains contiennent jusqu’à 80 strophes, essaimait la Bretagne et la Vendée de sa saine prédication, organisait des processions qui duraient parfois cinq heures, prêchait des missions paroissiales et alpaguait les chrétiens vers sa Parfaite Dévotion Mariale, et plus généralement vers la Sanctification personnelle.

Si la Vendée a été le phare du combat contre-révolutionnaire, si elle s’est levée sans peur et sans reproche contre l’assassinat, l’emprisonnement et l’émigration forcée des prêtres réfractaires à la Constitution Civile du Clergé, c’est une conséquence du fertile apostolat du Père de Montfort moins d’un siècle avant la Révolution.
Le XVIIIème siècle, avec l’influence délétère des sophistes des Lumières et de l’installation des différentes loges maçonniques sur le sol français (Mons 1721, Paris 1725, Bordeaux 1732, Valenciennes 1738, Le Havre 1739), a entamé la déchristianisation  progressive de la France. Ce n’est pas anodin que ce soit précisément les terres parcourus par le Père de Montfort, qui aient combattu pour leur Dieu et pour leur Roy, car les vendéens et les chouans avaient gardé un socle, une saine doctrine, une foi ardente et un véritable amour de la Croix.

CAUSES DE LA REVOLUTION

La cabale contre les Jésuites, fomenté par une conjuration de robins, de jansénistes, de physiocrates et de philosophes, qui a fini par parvenir à les faire condamner par le Pape Clément XIV et par Louis XV, a laissé le champ libre aux idées nouvelles : le libéralisme philosophique et économique. Je vous renvoie à Marion Sigaut, experte en la matière, pour en savoir davantage.

Il faut souligner que Louis XV durant son long règne (1723-1774), prônait un modèle en radical opposition avec le capitalisme sauvage Anglo-Saxon, d’inspiration protestante. En effet, pendant qu’outre-Manche, des enfants de 10 à 12 ans travaillent 14 heures par jour, de façon parfois non rémunérée, Notre Roy lui, a maintenu un modèle de société chrétienne ou le paysan et le travailleur français avaient des droits, et étaient protégés par leur corporation de métier. Voltaire et consort vendaient à ce moment là l’Angleterre comme un modèle, allant même jusqu’à se réjouir des défaites de la France durant la guerre de sept ans (1756-1763).
La police des grains veillait aussi à empêcher l’accaparement des denrées de premières nécessités par les marchands, qui auraient souhaité les vendre ailleurs à un prix plus élevé. C’est toutes ces protections, que les précurseurs et exécuteurs de la révolution feront sauter les unes après les autres. Plus tard les socialistes prétendront glaner des acquis sociaux, alors qu’ils n’ont que piètrement restauré ceux de l’Ancien Régime, qui étaient d’ailleurs plus justes, plus efficaces, et favorisaient moins la division et l’insidieuse lutte des classes qui dynamite l’unité de la Nation.

L’influence de la noblesse de robe (les magistrats), dont le droit de remontrance avait été rétabli par le régent Philippe d’Orléans (1715-1723) dans un perfide échange de mauvais procédés (contre la promesse de faire casser le testament de Louis XIV à peine enterré), enrayait la machine d’Etat, et diminuait le pouvoir absolu du Roy. Leur fonction était à l’origine de ratifier les lois, non de les contester. Si Louis XV par un coup de force nécessaire et prodigieux (21 janvier 1771), exila les parlementaires, l’effet fût de courte durée, puisque à sa mort, le tout jeune et inexpérimenté Louis XVI montait sur le trône, cédant naïvement aux manipulations des libéraux.
C’est la mainmise sur le Roy de ces derniers, qui a provoqué toutes les famines et les catastrophes dont eux-mêmes profiteront pour comploter contre la Couronne et contre l’Autel.
Louis XVI commença par rappeler les parlements, puis il nomma Turgot dans son gouvernement, lui qui est responsable d’avoir creusé la dette du Royaume, commencé par les folles dépenses de la Pompadour, maitresse de Louis XV, et achevé par le banquier protestant genevois Necker entre 1776 et 1789, au profit de ses « collègues » banquiers. C’est d’ailleurs l’éviction de Necker par le Roy -12 juillet 1789- qui poussera les puissances d’argent à financer et hourdir la Prise de la Bastille deux jours plus tard.

LOGES ET SOCIETES DE PENSEES

C’est dans ces mêmes années qu’éclot l’Illuminisme Bavarois, dont le but revendiqué est « l’abolition de toute religion, toute monarchie, tout privilège de naissance déclaré injuste et de toute propriété ». Cette secte influencera l’ensemble de la Maçonnerie, et même si elle disparaîtra en 1788 à la suite d’une série de perquisitions et persécutions menées par la police locale, son héritage idéologique sera palpable dans les Loges de Rite Ecossais, au Grand Orient et bientôt chez les Carbonari -la Haute Vente-, au début du XIXème siècle.

Les deux fondateurs de cette secte sont Knige -dit Philon- et Weishaupt -dit Spartacus-, ce dernier approcha Mirabeau lors de son voyage en Bavière pour le compte de Louis XVI, et l’initia à la Loge de Brunswick. Dés son retour en France, Mirabeau contaminera Talleyrand du poison qui lui fût administré. On peut mesurer l’ampleur des conséquences de cette « conversion » de l’ancien Evêque d’Autun sur l’avenir de notre pays, quand on considère combien Talleyrand sera omniprésent sous le règne finissant de Louis XVI, pendant le Révolution, au sein du Consulat, du Premier Empire Napoléonien et de la Restauration Monarchique de Louis XVIII.

En 1784, à Francfort, dans une réunion extraordinaire de la Loge Éclectique, fût décidé l’assassinat du Roi de Suède Gustave III, et celle de Louis XVI qui interviendra neuf années plus tard.
Je conclurais ce paragraphe, en vous livrant une liste des membres du Grand-Orient de France en 1786 ; on retrouve l’Abbé Sieyés, Lameth, Lafayette, Brissot, Desmoulins, Condorcet, Danton, Hébert et Robespierre… Après ces faits accablants, je mets quiconque au défi de réfuter sans sourciller, que c’est au sein même de la Maçonnerie que fût préméditée la Révolution Bourgeoise de 1789.

CONCLUSION

La Renaissance, la Réforme Protestante, le Gallicanisme, les « Lumières » (sic), les loges maçonniques financées par l’or de l’Angleterre, la dette et les famines provoquées par les physiocrates -et par les Anglais-, l’insuffisant absolutisme du règne de Louis XVI, … voilà ce que ma longue étude et analyse m’oblige à considérer comme les causes principales de la Révolution que nos manuels d’histoire attribuent à tort, au peuple. J’ai volontairement omis une origine plus lointaine ; La Gnose. N’étant pas qualifié pour vous en parler de façon précise, je laisse aux spécialistes le soin de vous instruire au sujet de cette dangereuse hérésie, cet article de mes confrères de viveleroy vous y introduira.

Le peuple a vu son sang et celui des femmes et des enfants, couler sous le glaive des colonnes infernales de Turreau, le peuple a subit la victoire de l’Argent-Roi sur le Protecteur des Humbles, le peuple s’est caché pendant des années, harcelé par la peur bleue qu’inspirait la Terreur. Le peuple s’est fait martyr pour combattre la Garde Nationale -composé en grande partie de criminels que les révolutionnaires ont libéré de prison pour la former-… mais nulle trace de ce peuple derrière cette volonté d’abolir le Trône et l’Autel, ni même derrière les cahiers de doléances truqués et rédigés pour la plupart par des magistrats, ni derrière la blasphématoire Déesse Raison érigée à Notre-Dame de Paris, ni derrière la Liberté, l’Égalité et la Fraternité, ni derrière la République. Non mes biens chers lecteurs, le peuple n’a pas son mot à dire quand on parle en son nom, on fait fît de son avis, les bourgeois et les philosophes parlent à sa place.
Et comme disait si justement Louis Ferdinand Céline, quand bien même il fomenterait lui-même des révolutions, ce ne serait jamais pour être libre, mais pour réclamer des tyrannies plus solides.

Combien de fois ai-je entendu de la part d’un démocrate me reprochant mon refus de mettre un bulletin dans l’urne : « Des gens sont morts pour t’obtenir ce droit », ce à quoi je réponds toujours :  Raison de plus pour n’en point user.

Je vous donne rendez-vous bientôt pour la suite, ou nous rentrerons dans le vif du sujet, concernant les Guerres de Vendée et le l’infâme Populicide qui est à la base même de la République Maçonnique que nous subissons depuis trop longtemps.  

Que Dieu vous garde !

                                               Louis-Antoine, servus Mariae.

BIBLIOGRAPHIE
Philippe le Bel, Jean Favier
Philippe le Bel, Jacques Krynen
Histoire de France, Jacques Bainville
Histoire de la France, Jean-Christian Petitfils
Richelieu, Sylvie Taussig
Louis XIV, Jean Christian Petitfils
De la centralisation monarchique à la révolution bourgeoise, Marion Sigaut
Le Tournant de la Régence, Marion Sigaut
Voltaire, une imposture au service des puissants, Marion Sigaut
Le mort du Roi et les secrets de Saint Fargeau, Marion Sigaut
La marche rouge, les enfants perdus de l’Hopital Général, Marion Sigaut
Mourir à l’ombre des lumières, l’énigme Damiens, Marion Sigaut
Louis XV, Paul del Perrugia
Louis XVI, Jean Christian Petitfils
Le livre noir de la Révolution française, Editions du Cerf
L’épopée Vendéenne, Georges Gautherot
Les grandes heures de la Vendée, Emile Gabory
La Guerre de Vendée, Chanoine Augustin Billaud
Mémoire pour servir à l’histoire du jacobinisme, Augustin Barruel
Cathelineau, Abbé Bossard
Henri de la Rochejacquelin, François de Chabot
Vie du General Charrette, M Le Bouvier Desmortiers
La Conjuration antichrétienne, Mgr Henri Delassüs
La Révolution française, Pierre Gaxotte
Napoléon, Jacques Bainville
Le Mission Divine de la France, Marquis de la Franquerie
L’école des cadavres, Louis-Ferdinand Céline
Mémoires, Charles de Gaulle

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