Qui sont les véritables héritiers d’Hitler ?

INTRODUCTION

Du 20 novembre 1945 au 1^er octobre 1946, à Nuremberg, s’est joué l’avenir politique de l’Occident. Si ce procès avait pour but de condamner les crimes des Nationaux-Socialistes, il était surtout un moyen subversif de couvrir ceux de l’Axe. Il était nécessaire de désigner un coupable absolu, pour rendre légitime toutes les exactions commises par les Communistes et les Anglo-Américains, secondés par le Général De Gaulle.
L’universitaire Maurice Bardèche nous avait averti dans son livre phare « Nuremberg ou la Terre promise », que cet arrêt condamnait « ad vitam aeternam » tous les nationalismes passés, présents et à venir, quel qu’en soient les spécificités et les singularités. Qu’il servait avant tout d’assise à l’exaltation du démocratisme comme Souverain Bien, et que la démocratie deviendrait un critère de moralité, ce que ces quatre-vingt dernières années nous ont démontré avec les croisades droit-de-l’hommistes de l’Empire Américain en Corée, au Viêt-Nam, lors des deux Guerres du Golfe, au Kosovo, en Libye -via la France-, et aujourd’hui contre la Russie, toujours sous ce même prétexte.
En m’appuyant en particulier sur l’ouvrage fort instructif de François Marie Algoud et Désiré Dutonnerre « La peste et le cholera : Marx, Hitler et leurs héritiers », je vais chercher à vous aider à identifier les véritables successeurs idéologiques de ce dernier.

NUREMBERG : CAUSE DE LA CONDAMNATION

Ce qui est cocasse, c’est que si implicitement, la jurisprudence Nuremberg discrédite d’avance tous les courants nationalistes pour les bien-pensants, il est bon de rappeler que c’est bien « L’Eugénisme » qui a été juridiquement condamné dans ce procès. Je ne vous apprends rien en vous disant que l’Eugénisme et le Transhumanisme règnent en maître aujourd’hui par la société d’avortement de masse et bientôt d’euthanasie, par la chirurgie esthétique, par les abominables et irréversibles mutilations génitales que prônent les adeptes de la Théorie du Genre, par le GPA et la PMA etc…
Les suppôts de Satan que sont les Mondialistes, sont plus que jamais en révolte contre Dieu et contre la Nature, avec ce désir orgueilleux et malsain, d’avoir l’emprise et le contrôle sur toutes choses, se faire Dieu à la place de Dieu.
Ce qu’illustre aussi parfaitement la délirante théorie du réchauffement climatique anthropique, selon lequel l’homme aurait le pouvoir de changer le climat par son activité seule. La Terre se défend très bien elle-même, et ce que veulent sauver les tenants de la Religion Ecologiste, c’est le coffre-fort du Grand Capital qui transite vers un Capitalisme Vert, par lequel il est prêt à ponctionner les peuples davantage via les Etats qui sont à sa solde. Cela permet également de canaliser la colère sur des non-sujets, mener les moutons dans des voies de garages, tout en leur faisant les poches par la même occasion.
Voyons maintenant, par une série d’exemples, quelles autres idéologies modernes ont un lien direct avec celles qu’animaient le Führer.

FEMINISME ET NAZISME : UNE HISTOIRE D’AMOUR QUI S’IGNORE

Margaret Sanger, né le 14 septembre 1879 à Corning dans l’état de New-York, est une militante féministe a qui on doit la création du Planning Familial américain, qui fût financé par John. D Rockfeller dans les années 30-40. Elle crée la Ligue américaine pour le Contrôle des Naissances en 1921, qui sera renommé Planning Familial en 1942.
Cette femme était dithyrambique des avancées que faisait Hitler en la matière, elle a même reçu à son domicile, son conseiller en « matière raciale » Eugen Fischer en septembre 1930. Au début des années 40, elle condamne l’antisémitisme du régime National-Socialiste, tout en déclarant dans le même temps :

 « Nous ne voulons pas que l’on sache que nous visons l’extermination de la population nègre et que le ministre noir que le Planning Familial a formé est l’homme adéquat pour nous couvrir contre ce risque. »

En vouloir aux Juifs est scandaleux, mais faire disparaître les nègres non… sa logique m’échappe, mais passons. Elle est inscrite au National Women’s Hall of Fame depuis 1981, donc tamponnée par le système comme il se doit, ayant grandement contribué au massacre de masse des innocents dans le ventre de leur mère, c’est la moindre des choses, qu’importe ses positionnements connexes qui auraient valu à n’importe quel male blanc, catholique et français une mise au ban immédiate. L’académicien Jean Rostand, fils d’Edmond, prophétisait en 1974 :

« Ce qui est à craindre, c’est qu’on arrive par un glissement, à trouver que ce n’est rien de tuer un fœtus, puis on trouvera que ce n’est rien de tuer un vieillard … et l’on finira par une espèce de conception hitlérienne. »

On trouve aux origines du nazisme, les sectes où ses principaux fonctionnaires furent formés : la Loge Wotane et la Société de Thulé, loge maçonnique fondée en 1912 à Madebourg, singulièrement aryenne et eugéniste. Cette dernière se réclame de l’esprit des Rose-Croix et de l’Illuminisme Bavarois -que j’ai évoqué dans mon pamphlet « à bas la conjuration »-.

BANDERISME

L’Ukraine eût un illustre chef de la résistance durant la seconde guerre mondiale en la personne de Stepan Andrïiovytch Bandera. Rappelons le contexte pour ne pas sombrer dans un jugement téméraire. Il est connu que ceux que certains appellent les « Ukrainiens », ont subi plus que personne l’abominable oppression des Bolcheviques. Le fait le plus accablant et le plus célèbre est l’Holodomor, cette famine organisée par Staline qui a fait environ 5 millions de morts en seulement une année (1932-1933), les spécialistes du sujet vous diront que les greniers étaient pleins, mais les assiettes étaient vides, ce qui n’est pas en soit une première dans La Grande Histoire. Les Ukrainiens ont pu goûter à leurs dépends à la réalité du régime communiste, dont les différentes expériences ont prouvé qu’il n’était en aucun cas émancipateur pour le peuple, mais plutôt un phénomène aggravant sa situation financière, son absence de liberté et son insécurité.
Dans un tel contexte, Bandera, comme de nombreux ukrainiens qu’il a soulevé, unifié autour de la « Légion Ukrainienne » et mené à la Résistance contre l’URSS, voyait d’un bon œil l’arrivée des troupes allemandes, dont il a su profiter dans un premier temps, espérant rendre les siens indépendants de l’Union Soviétique et de la Pologne. Il proclame même l’indépendance le 30 juin 1941 à Lvov, mais sans l’accord du Reich qui venait de les libérer des griffes de Staline, il fût donc arrêté et déporté le 5 juillet 1941, puis envoyé au camp Sachsenhausen, d’où il sera libéré en 1944. Il reprendra les armes -fournis par l’Allemagne- pour l’indépendance ukrainienne, prônant semblablement la même idéologie que les Nationaux-Socialistes, et il finira assassiné par les services secrets soviétiques.

C’est de cet homme et de son mouvement ukro-nazi, que se réclament fièrement les bataillons de représailles Ukrainiens dits « Bataillon Azov ». Eux qui ont fait leur spécialité depuis le début du conflit (février 2022) d’utiliser les civils ukrainiens comme otages et comme bouclier (Marioupol avril 2022), de régler leurs comptes sans aucun scrupule, avec les civils qui n’ont commis d’autres crimes que de préférer le joug Russe au leur (Kherson, octobre 2022), et de bombarder les prisons dans lesquelles sont retenus leurs propres frères d’armes, afin de les faire taire (Olenivka, juillet 2022).
Il ne vous aura pas échappé que les élites et les médias occidentaux, n’ont que des éloges à distribuer au dangereux Volodymyr Zelensy, marionnette du mafieux Igor Kolomoïsky et de l’Etat-Profond américain. Qui est l’ennemi désigné aujourd’hui ? Poutine bien sûr !
Le fait que Vladimir Poutine soit aimé, approuvé et soutenu de 75% des Russes, ce qu’aucun Macron, Trudeau ou Biden n’obtiendra jamais des siens, le fait qu’il soit un bon chrétien, qu’il ait redressé économiquement et moralement son pays, qu’il avait pourtant récupéré en ruine après 70 ans de communisme n’ont pas d’importance… Le fait que Zellensky soit un clown arriviste qui joue du piano avec ses parties génitales, et qui surtout, est prêt à sacrifier son peuple jusqu’à sa dernière goutte de sang pour des intérêts étrangers n’en a pas non plus… car comme l’avait prédit Bardèche, le critère de moralité aujourd’hui, c’est la démocratie.
Le comble c’est que quand l’Empire veut s’en prendre à un pays qui organise effectivement des élections comme la Russie, il prétend qu’elle n’est pas une démocratie pour autant, c’est pratique, c’est eux qui décernent le cachet. Aujourd’hui l’Europe entière, et en particulier la France, se dépouille du peu d’armes qu’il lui reste, pour les envoyer, soit aux Ukro-Nazis Bandéristes, soit directement au marché noir, car la plupart d’entre elles disparaissent mystérieusement dés leur arrivée sur le sol ukrainien.

ISRA-HEIL ! (1)

Comment ne pas parler de « La seule démocratie du Moyen-Orient » dans un tel billet, cela serait une faute de goût que je ne peux me permettre. Commençons par rappeler dans les grandes lignes, les origines de la création de l’Etat d’Israël (1948) ;

1882 : Première implantation juive moderne en Palestine à Rishon LeZion, financé par Edmond de Rothschild, qui n’avait pas d’idéaux sioniste à cet instant, il faut le souligner, c’était dans son esprit, une colonisation localisé qui n’en appelait point d’autres de plus grande ampleur.

• 1895-1904 :

L’idée sioniste fait son chemin, grâce au prodigieux travail de Théodore Herzl.
Lui qui n’était qu’un simple journaliste viennois, a su à l’image de Joseph Nassi au XVIème siècle, se tisser un réseau pharamineux qu’il utilisera pour faire avancer à grand pas ce projet qui paraissait encore utopique quelques décennies auparavant. Il gagne à sa cause les Rothschild de Paris (Edmond), de Londres (Nathan), le sultan ottoman, le Tsar Nicolas II, l’Empereur d’Allemagne Guillaume II, l’Angleterre via Chamberlain, le Roi d’Italie, les autorités égyptiennes et les B’naï Brith de New-York. Le tout alors, qu’en 1895, la grande majorité des membres de sa propre communauté, étaient CONTRE le projet sioniste, à sa mort en 1904, leur position est tout autre, il a su se montrer persuasif et convaincant.

• Novembre 1917 : Déclaration Balfour* 

« Promesse de l’etablissement d’un foyer juif en Palestine sous protectorat britannique », par le Ministres des Affaires Etrangères Britannique, Arthur James Balfour. (Au moment de la déclaration, la Palestine est encore sous le joug de l’Empire Ottoman, les Anglais remporteront la Bataille de Jérusalem du 17 novembre au 30 décembre de cette même année).
Déclaration -on le sait grâce aux travaux de Douglas Reed et Benjamin Freedman- qui a été obtenu par les élites sionistes, en échange de leur concours, pour convaincre le président des Etats-Unis Woodrow Wilson, d’entrer en Guerre contre l’Allemagne aux côtés de l’Angleterre.

• 7 août 1933 : Accord de la Haavana

« Dès ce moment, le IIIème Reich prit conscience, qu’il pouvait exploiter le mouvement sioniste contre les Juifs. Dans le même temps, les sionistes furent convaincus qu’ils pouvaient exploiter le mouvement nazi au bénéfice des générations futures et du peuple juif […] à la suite des accords de la Haavana, les intérêts sionistes et nazis était désormais indissociable, par conséquent le parti nazi et l’organisation sioniste partageaient un enjeu commun dans le rétablissement de l’Allemagne. Si l’économie d’Hitler tombait, ils étaient ruinés d’un côté comme de l’autre. » Edwin Black

Pour résumer, le 24 mars 1933, « La Judée déclare la guerre à l’Allemagne », c’était le titre du Daily Express, la juiverie internationale enclenche un boycott financier du régime d’Hitler pour casser son économie, ce qui est en soit logique et de bonne guerre. Seulement entre cette date, et le 7 août suivant, les Mapaï, fondés et menés par David Ben Gourion -futur Premier Ministre de l’Etat d’Israël de 1955 à 1963-, tentent un rapprochement avec l’Allemagne et incitent les Juifs du monde entier à ne pas boycotter, car selon eux, Hitler est un partenaire privilégié et providentiel pour la création future de l’Etat Hébreu. Kurt Blumenfeld et le Rabbin américain Stephen Wise jouèrent également un rôle capital dans ce désamorçage du boycott.

• 1933-1938 : Application des accords.

Le Reich finance de nombreux camps de « Hachscharah » -préparation-, formant des dizaines de milliers de Juifs aux métiers agricoles et artisanaux, en vue de leur émigration en Palestine.

« Il n’est pas approprié d’empêcher ou de compliquer, pour tout Juif volontaire à l’émigration, la tenue d’un enseignement touchant à l’artisanat, car toute mesure promouvant l’émigration des Juifs est à saluer » Enrich Wiembek, Ministre de l’Economie.

On est en droit de se poser une question. L’œuvre d’Hitler aura-t-elle était ce qu’elle a été, si le boycott de la Juiverie Mondiale n’avait pas été interrompu par les accords de la Havaana ? s’il n’y avait pas eu cette campagne de Ben Gourion et de ses Mapaï ? si le Rabbin Wise et ses comparses n’avaient pas fait ce choix abominable de sacrifier les juifs européens sur l’autel de la mystique sabbatéo-frankiste ? (Car oui, bon nombre d’entre eux considéraient que c’était un sacrifice expiatoire nécessaire à offrir à leur Dieu -qui est Satan- pour qu’Il leur octroie la Terre Promise).

ISRA-HEIL : (2)

Et en effet, le Prince de ce Monde leur a accordé l’Etat d’Israël, voyons l’usage qu’ils feront de ce Pacte avec le Diable.
Depuis 75 ans, les enfants, les femmes et les civils palestiniens meurent sous les balles, sous les chars et sous les bombardements des Israéliens qui les ont dépossédé de leur terre. Voilà le sort de ceux qui n’en ont pas été simplement chassés, ceux là sont les plus nombreux (entre Juin 1967 et Août 1968, suite à la Guerre des Six Jours, 500 000 palestiniens sont violemment déportés, source « Histoire Juive, Religion Juive, Israël Shakak« ).
Il y a quelques mois, Benjamin Netanyahou a formé le gouvernement le plus racialiste qui se soit vu depuis la création de l’Etat Hébreu, Itamar Ben-Gvir son nouveau ministre de la Sécurité Nationale, est un partisan du génocide pur et simple des Palestiniens, condamné pour ses déclarations criminelles dans le passé, et dont le mouvement a été classé « Organisation Terroriste » par de nombreux états.
Comme le constataient sionistes et nazis dans les années 30 quand ils se rencontraient ; ils ont sensiblement les mêmes idéaux concernant la préservation de la pureté de la race et le rebus à mélanger du sang aryen et du sang juif. Ils étaient faits pour s’entendre, et les sionistes d’aujourd’hui sont de dignes héritiers du National-Socialisme et de son chef Hitler.
Peut-être à la différence près que les sionistes n’acceptent que leur propre nationalisme, leur propre racialisme, mais jamais celui des autres. Il n’est pas anodin qu’aujourd’hui le lobby, nous interdise chez nous de vouloir que la France soit aux Français, tout en soutenant l’extrême droite Israélienne chez eux, qu’ils prônent les frontières ouvertes pour tous, sauf pour Israël, le métissage pour tous, sauf pour Israël et interdissent le Nationalisme pour tous, sauf pour Israël.
On en revient à cette complémentarité entre l’aile gauche et l’aile droite du Lobby que j’évoquais dans le Ier Chapitre d' »à bas la conjuration ».
Cela est cohérant avec le projet de « gouvernement mondial avec pour capitale Jérusalem » Jacques Attali, et le faux messianisme juif qui aboutira sur un règne de ce Peuple Elu, sur le bétail que nous les Goys, sommes à leurs yeux.

CONCLUSION 

Je ne vous cache pas la drôlerie de cet exercice, où je me vois appliquer le « reductum ad hitlerium » que nous honnissons et que nous subissons si souvent, nous les nationalistes français. Mais c’était afin de rendre la monnaie de leur pièce à nos adversaires, jouer exceptionnellement avec leurs règles, selon leurs principes, afin de pointer leur absolue incohérence. Ne vous inquiétez-pas, je ne suis pas redevenu un antifa, que Dieu m’en préserve.   
Par différents biais, j’ai tenté de donner quelques exemples de ceux chez qui la filiation avec l’idéologie nazie est évidente. Les partisans du contrôle des naissances par l’avortement, ceux de l’euthanasie, de la GPA-PMA, du transsexualisme, de la vaccination de masse pour tout et n’importe quoi, sont -consciemment ou non-, héritiers de l’eugénisme et du transhumanisme d’Hitler.
Les défenseurs de Zellensky et de l’Ukraine -pays le plus corrompu du monde-, ceux de l’Etat d’Israël et plus généralement de l’Empire Américain, sont -consciemment ou non-, héritiers de la politique impérialiste, belliciste et racialiste d’Hitler.

Et c’est en livrant cette conclusion, qui me cause un certain malaise, que je me murmure à moi-même, « Dieu que ce doit être fatiguant de passer son temps à Hitlériser les autres. » Je ne recommencerais plus, promis ! Mea culpa !
Que Dieu vous garde !
           

                                                           Louis-Antoine, servus Mariae

Sources et Bibliographie :
Nuremberg, Maurice Bardèche
La Peste et le Choléra : Marx, Hitler et leurs héritiers
L’archipel du Goulag, Alexandre Soljenitsyne
Deux siècles ensemble, Alexandre Soljenitsyne
The Transfert Agreement, Edwin Black
Wall Street et l’Ascension d’Hitler, Antony Sutton
Carnets Complets, Théodore Herzl
Sionisme et Mondialisme, Pierre Hillard
Comprendre l’Empire, Alain Soral
Archives, Daily Express
Archives, Jewish American Congress
 https://integralisme-organique.com/
https://www.egaliteetreconciliation.fr/
https://stratpol.com